La cardère est un véritable spectacle avec sa haute taille et ses fruits aux apparences de chardons. Cette sauvageonne ne dépare pas les massifs où elle attire une multitude d'insectes et d'oiseaux grâce à ses feuilles engainantes qui retiennent l'eau.

Peut-être avez-vous déjà vu fleurir la cardère dans la campagne ? On croise cette « rudérale » sur les bords des chemins, sur les talus, dans les friches un peu partout en France.

Bisannuelle, elle élabore une rosette de feuilles oblongues et persistantes, puis la seconde année, une très longue tige florale (qui peut parfois dépasser 2 m de hauteur). Autour de celle-ci, les feuilles, rugueuses, lancéolées, sont incurvées et soudées.

Elles forment ainsi des coupes qui retiennent les gouttelettes (celles de la rosée ou de la pluie). Un réservoir naturel qui peut retenir 1 l d'eau. Il est fréquenté par les insectes et nombre d'oiseaux, notamment des chardonnerets. Ce qui a valu à la cardère une kyrielle de surnoms souvent poétiques : « cabaret des oiseaux », « lavoir de Vénus »…

Les fleurs apparaissent donc la deuxième année. La cardère n'est pas un chardon (elle appartient à la même famille que les scabieuses, celles des Dispacées), bien que leurs fleurs se ressemblent beaucoup. Ovoïdes et assez grosses, elles sont entourées d'une collerette de longues bractées rigides. Les petites fleurs lilas s'épanouissent en juillet-août, en couronnes régulières.

Les cardères sauvages apportent une jolie touche sauvageonne aux massifs, talus et prairies où elle peut être joliment accompagnée de graminées diverses (fétuques, carex…), mais aussi de diverses vivaces : gaura, verveine de Buenos Aires, crocosmia…

Bon à savoir : les cardères composent de très jolis bouquets secs, à condition de savoir les récolter à temps ! Il faut donc les couper lorsque les dernières fleurs sont tombées et que les capitules se colorent d'une belle nuance mordorée, lorsque leur vert se nuance de jaune pâle. Mettez les bouquets à sécher en plein soleil ; les cardères prendront alors une très jolie coloration blonde.

Lors de nos balades, j'aime photographier les vaches, je trouve quels n'ont jamais la même bouille.

Numéro INSEE de la commune : 08489
Aire : Ardennes
Canton : Attigny
Cours d'eau : Longwé (ruisseau)

Appartenait à l'abbaye d'Hautvillers.
Moulin de la Tortue sur ruisseau de Day : construction d´un moulin à farine par sieur Tortuyaux, 1813 ;réglementation du moulin du sieur Prioux-Cobin, 1841-52 ; contravention à la charge de Pierrard, meunier à la Tortue, 1855 ; rapport relatif aux ouvrages régulateurs du moulin, 1907.

Datation(s) principale(s) : 1ère moitié 19e siècle

Reste la grande roue (moulin de bief) ; et les structures.

Saint-Irénée (Moulin) est une Prémisse est situé à Rilly-sur-Aisne, Grand Est. L'adresse de la Saint-Irénée (Moulin) est 08130 Rilly-sur-Aisne, France.

La latitude de Saint-Irénée (Moulin) est 49.490621, et la longitude est 4.6447269. Saint-Irénée (Moulin) est situé à Rilly-sur-Aisne, avec les coordonnées gps 49° 29' 26.2356" N and 4° 38' 41.0168" E.

Le fuseau horaire de l'endroit est Europe/Brussels. 

Toujours collé 

Un chapardeur

Bonjour à Tous, je fait une petite pose, pour profiter de ma Famille. 

Car ce matin ma fille unique a eu un accident de voiture, qui aurait pu très mal finir.

Tout ca a cause d'un monsieur qui a certainement cru que la petite route entre deux villages, était pour lui seule, ma fille a du aller dans le bas coté pour l'éviter, mais avec cette pluie sa voiture et partie en tête à queue.

Une gentille dame a pris en main ma fille jusqu’à notre arrivé, et les parents de sa meilleur Amie, étaient là, merci à eux.

Malheureusement, pas de plaque pour cet individus.

Ma fille est très choquée. Donc je vais être a ses cotés.

Veuillez m'en excusez mes Amis

Rethel-Bain, était le lieu de baignade des Rethélois de 1940 à 1960, en grande partie, pendant la deuxième guerre mondiale, ce qui fut un moyen de détente aux Rethélois.

Un terrain se trouva libre sur la rive gauche de l’Aisne, face à la baignade. Les dirigeants de Rethel Bains, le louèrent et y établirent des jeux pour enfants. Ils y donnèrent des fêtes et des concerts qui attirèrent beaucoup de monde. Une barque réunissait les deux éléments de Rethel-Bains.

En 1944, eut lieu une grande fête nautique avec de nombreux jeux : water-polo, joutes lyonnaises, recherches d’assiettes et autres objets jetés au fond de l’eau.

Rethel-Bains fut très fréquenté jusqu’en 1950. Cette année-là se déclara dans la région une épidémie de poliomyélite et Rethel-Bains fut fermé par arrêté préfectoral.

Mais il était encore utilisé dans les années 60.

Et en 1975, fut la construction de la piscine tournesol, qui fut également détruite en 2014.

Au coeur des Ardennes belges, l'abbaye d'Orval est à la fois un lieu touristique, mais aussi un lieu hautement culturel pour la Belgique.En tant qu'abbaye trappiste, l'endroit fait partie de la gastronomie belge, mais en plus il fait partie du patrimoine belge.

En effet,ce lieu est une brasserie et une fromagerie de grand nom, célèbre dans tous le pays et au delà des frontières du pays.

Les moines cisterciens présents sur place vous réserveront un accueil chaleureux qui vous fera vite oublier tous les clichés sur la vie des monastères.

La visite des ruines de l'ancienne abbaye cistercienne, et plus particulièrement l'église gothique Notre-Dame, sera pour vous un émerveillement qui vous plongera tout droit hors du temps.

Les lieux sont si authentiques et ont été si bien rénovés qu'on pourrait croire que le site n'a jamais été remis en état.

Lorsque vous vous promènerez dans l'abbaye en ruine, vous ne pourrez vous empêcher d'entendre le silence de cathédrale qui règne sur le site depuis le 12e siècle.

Les guides présents sur les lieux sont très serviables et savent attirer efficacement l'attention sur les détails architecturaux importants.

Parmi les activités culturelles disponibles sur le site de l'abbaye d'Orval, citons en premier lieu le musée qui se trouve dans les sous-sols de l'abbaye d'Orval.

Bien que ce musée soit vaste et chargé d'histoire ancienne en tout genre, en bref, il retrace l'histoire de l'architecture de l'abbaye depuis les origines jusqu'au néoclassicisme, le développement de la sidérurgie et son importance dans la région d'Orval.

Une dernière partie du musée expose des objets d'art monastiques aussi appelés objets d'arts sacrés, dont la plupart datent de l'époque art déco et du 18e siècle.

Qui que vous soyez, pour terminer votre visite en beauté, ne manquez pas de savourer la bière et le fromage d'Orval

son écluse

 Petit ruisseau

Le canal