-
-
-
On nous a appris qu'Arthur Rimbault
venait s'installer au bord de ce lavoir
pour trouver inspiration.
Il se trouve au bord de la D 983,
à l'entrée du hameau et
il est indiqué par un panneau.
2 commentaires -
-
-
-
La fontaine Saint-Pierre est une fontaine située sur le territoire de la commune de Fontaine de Chuffilly, dans le département français des Ardennes. Elle est inscrite à l'inventaire des monument historique.
La fontaine alimente une pièce d’eau. Au milieu de cette pièce d'eau, s’élève un édicule hexagonal surmonté d’une statue de saint Pierre. Il abrite une niche. Une date est mentionnée, 1624. L’eau de cette source était autrefois réputée contre les fièvres
Cette fontaine est sur la commune de Fontaine de Chuffilly, dans le bourg de Chuffilly, dans le département français des Ardennes. Elle est située à côté de l'église.
En 1624, la seigneurie de Chuffily appartient à Robert de la Joyeuse, seigneur de Saint-Lambert, lieutenant du Roi au gouvernement de Champagne.
La fontaine a été inscrite au titre des monuments historiques par un arrêté du 27 septembre 1948, en même temps que l'église et le cimetière.
2 commentaires -
J'ai la chance de vivre à la campagne et d'avoir du terrain autour de mon jardin.
Nous rencontrons souvent des rouge queue
Madame rouge queue
Mr rouge queue
Les Muscicapidés sont des passereaux de taille petite à moyenne (10 à 20 cm de longueur). Dans un premier temps, ils regroupaient principalement les gobemouches au sens large. Mais les recherches récentes ont montré qu'il fallait leur adjoindre certains taxons appartenant jusqu'alors aux Sylviidés, Turdidés et Timaliidés, ce qui a bouleversé la systématique de ces groupes insectivores. Tous nos petits Turdidés d'antan (Rougegorge, rougequeues, traquets et autres rossignols) sont devenus des Muscicapidés.
A présent, les Muscicapidés sont forts de 51 genres et 331 espèces, répartis sur l'Eurasie et l'Afrique.
Ce sont des insectivores à gros oeil et bec fin chassant leurs proies au sol ou au vol. La majorité des espèces requièrent arbres et buissons dans leur habitat. Du fait de leur régime insectivore, on compte parmi eux beaucoup de migrateurs.Le Rougequeue noir est un petit passereau au plumage sombre et discret, se trouvant fréquemment dans un environnement humain, mais pas exclusivement. Dans son aire très vaste, allant de l'Europe de l'Ouest à la Chine de l'Est, l'espèce présente 5 sous-espèces qui diffèrent suffisamment pour être facilement distinguées, au moins pour les mâles.
Le mâle nuptial de la ssp "gibraltariensis" de l'ouest de l'Europe, celle qui occupe la France, paraît tout noir de loin. En fait, de près, on voit que les parties supérieures sont d'un gris-anthracite sur lequel se détache nettement sur les ailes une zone blanchâtre constituée par les bordures externes des rémiges secondaires. C'est l'avant du corps qui est noir, front, lores, parotiques, gorge et poitrine, plus ou moins largement suivant les individus. Sur ce fond noir, l'œil très sombre ne ressort pas du tout. Souvent un peu de blanchâtre est visible en arrière du front noir. Le ventre présente un dégradé de gris de l'avant vers l'arrière. Tout l'arrière du corps, croupion et sus-caudales, bas ventre et sous-caudales, est orange vif. La queue est d'un brun-gris sombre au niveau des rectrices centrales tandis que les rectrices externes sont orange, l'ensemble étant typique de la plupart des espèces de rougequeues et bien visible à l'envol. Bec et pattes sont noirs.
Le plumage nuptial complet n'est acquis qu'à l'âge de deux ans. Les mâles d'un an sont plus gris, moins noirs et souvent ne présentent pas de zone claire sur l'aile. Ils peuvent ainsi être pris pour des femelles. Malgré cela, ils sont capables de se reproduire.La femelle est d'un gris-souris, nuancé de brun sur les parotiques et avec les ailes plus sombres sans zone pâle.
Le dessous est d'un gris-beige parfois nuancé de fauve. La queue est identique à celle du mâle. Les sous-caudales sont orange pâle.
Le juvénile ressemble à la femelle, mais il est plus sombre dessus comme dessous. Les premiers temps, les commissures jaunes attestent du jeune âge.
Les sous-espèces se différencient à l'importance de la couleur orange des parties inférieures du mâle. Il y a une variation clinale entre la sous-espèce occidentale "gibraltariensis" chez laquelle seuls le bas-ventre et les sous-caudales sont orange, et la ssp la plus orientale "rufiventris" chez laquelle la totalité du ventre et le bas de la poitrine sont orange, ce qui est déroutant pour un européen. Même variation pour la couleur du manteau et des couvertures qui passe de gris sombre à l'ouest au noir à l'est. De son côté, la zone pâle de l'aile a tendance à s'atténuer d'ouest en est, pour disparaître chez rufiventris. Le mâle de la ssp asiatique "phoenicuroides" est troublant, comme son nom le laisse entendre. Dépourvu de zone pâle sur l'aile et montrant une tache pâle en arrière du front noir, il évoque le Rougequeue à front blanc mâle, ou encore un mâle hybride ochruros x phoenicurus.Les photos sont les miennes, mais le texte viens d'oiseaux.net
4 commentaires -
L'année dernière, je me suis fait un petit coin de jachère,
et j'ai eu la chance d'avoir de belles centaurées
1 commentaire -
Qui n'a jamais vu de fourmi dans son jardin?
Elles sont tellement petites, qu'on ne voit pas certains détails.
1 commentaire -
-
-
-
-
-
-
Aménagée dans la nef d'une ancienne grande église romane de plan basical, dont la construction doit remonter au XII, c'est actuellementun petit bâtiment , bâti en moellons et pierre de taille, couvert d'une toiture en bâtière moderne
Toutes les maçonneries présentent des traces laissées par un ou plusieurs incendies
violents.
Maintenant cette chapelle appartient à la ferme de Saint Brice...
Dans le vallon, aujourd'hui sous l'eau, il y avait un village " Bairon "appartenant à l'Abbaye de Saint Remi.
Les anglais le détruisirent en 1359, ses habitants se réfugièrent au Chesne.
Au XV siècle les moines de la Chartreuse du Mont Dieu rachètent ce domaine abandonné. Ils créent le vieil étang qui
leur fournit poissons et énergie pour faire tourner des moulins ( un grand et un petit) et animer au XVIII siècle une forge
et un haut fourneau.
Pour la mise en valeur des champs les moines ne recréent pas le village mais des fermes isolées ( les censes )
dont les noms subsistent aux alentours du Lac : Courte-Soupe, les Courtiseaux, Ambuy, les Fourcières, La Remontée.Pour permettre aux fermiers de remplir leur devoirs religieux une chapelle est construite, la Chapelle Saint Brice,
qui se dresse actuellement tout près du camping : c'est le dernier vestige de l'ancien village de Bairon.Ce lac est alimenté par les eaux du ruisseau de Bairon, il s'allonge en croissant sur plus de 4kms et se compose de deux parties :
- Le vieil étang ( 50 hectares ) au nord de la route-digue de Sauville est une réserve naturelle de faune et de flore, avec 140 espèces d'oiseaux recensées.
- L'étang neuf ( 80 hectares ) au sud; crée en 1830-1840 pour alimenter le canal des ardennes qui relie l'Aisne à la Meuse est devenu " Lac de loisirs " orienté vers la nature, les activités nautiques et la pêche (carte de pêche obligatoire, pêche de nuit interdite.)
Renseignements :-Fédération Départementale pour la pêche
tel : 03.24.56.41.32 - mail : fedepecheardennes@wanadoo.fr-L'association de pêche de le Chesne qui gère le plan piscicole des étangs de Bairon
Président : M. Etienne Colson : tel : 06.89.50.46.89
Vente de cartes :
Café Restaurant " le Gavroche ", 1, rue du Lac de Bairon Le Chesne
tel : 03.24.30.57.03https://bairon-et-ses-environs.fr/index.php/commune-nouvelle/30-tourisme/lac-de-bairon
6 commentaires -
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
J'adore ce lieu, car maintenant on peut fait le tour des deux parties à pied,
donc un régal en photo, je vous laisse découvrir mes balades autour de ce lac.
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires