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L'écluse de Givry sur Aisne N°6, et son canal
L'écluse N°6 de Givry sur Aisne, est un lieu fluvial mineur sur le canal des Ardennes:(Ligne principale) entre Ardennes-Vouziers Jonction (Jonction du Canal des Ardennes avec l'embranchement de Vouziers) (7,71 kms et 1 écluse à l'Est) et L'Aisne-Ardennes Jonction du canal Latéral à l'Aisne et du canal des Ardennes à Vieux les Asfeld) (40,92 kms et 8 écluses à l'ouest).
L'endroit le plus proche dans le sens Ardennes-Vouziers Jonction est Pont d'Attigny; à 2,24 kms.
L'endroit le plus proche dans le sens de l'Aisne-Ardennes Jonction est Pont d'Ecluse de Givry; à 0,02 kms.
L'amarrage ici n'est pas classé. Il s'agit d'une écluse avec une dénivellation de 2,95 mètres.
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Givry sur Aisne (08)
Petit coin de pêche Le canal a un niveau bien bas suite a une rupture de digue
Petit sentier qui longe le canal pour rejoindre la Chapelle Montmarin.
Un endroit toujours agréable a voire,, et en toute saison.
Il y a un beau barrage, au niveau de l'écluse, dans la rivière de L'Aisne.
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Rôti de porc Norvégien (au saumon, emmental) Rôti de porc au beurre d'escargot
Rôti de porc à la moutarde ancienne Rôti de porc à la raclette
Filet de canard farci Rôti de porc au reblochon
Rôti de porc campagnard
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Longwe, le ruisseau
C'est un petit ruisseau qui passe dans 6 villages, Chagny, Lametz, Marquigny, Montgon, Neuville-Day, et Voncq.
Latitude: 49° 32' 56'' Nord (49.5488°)
Longitude: 4° 42' 43'' Est (4.712°)La longueur totale du Ruisseau est de 9,2 km
il traverse 6 communes françaises sur un seul et même département, le département des Ardennes.
Un petit ruisseau qui vient d'être nettoyé, il est clair, on y voit le fond, un pur régal.
On entend le bruit de l'eau tout en se promenant. De jolie fleur jaune fleurisse le bord de l'eau.
On peut admirer les racines des arbres dans ce petit ruisseau. Ce sont des Renoncules
Un dépaysement total. Il longe une grande partie la voie verte .
Le ruisseau passe par plusieurs endroit en dessous du canal, par ce petit passage.
Un petit ruisseau pleins de petit remous, de petites cascades, bien oxygéné
Et encore Vous n'avez pas le bruit du ruissellement.
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Abbaye Notre-Dame d'Orval
LE MONASTÈRE SERAIT NÉ D'UN GESTE DE GRATITUDE :
La veuve Mathilde, ayant par mégarde laissé tomber son anneau nuptial dans la fontaine de cette vallée, se mit à supplier Dieu, et aussitôt une truite apparut à la surface de l'eau, portant en sa gueule le précieux anneau.
Mathilde s'écria alors :Vraiment, c'est ici un Val d'or !
, et elle décida par reconnaissance de fonder un monastère en ce lieu béni.MATHILDE DE CANOSSA ENTRE LÉGENDE ET HISTOIRE
La comtesse est à la fois peu et beaucoup évoquée à Orval : la fontaine éponyme est un point du site incontournable encore majoré depuis la réalisation de la fresque de Jean-Claude Servais. La truite de la légende est sans cesse sur les bouteilles, les verres, les ferronneries d’art dans toute l’abbaye. On véhicule quotidiennement sa légende mais que sait-on d’elle historiquement dans nos contrées? Pas assez assurément.
Mathilde de Canossa est un personnage central de l’histoire médiévale italienne, en raison surtout de son rôle dans la délicate période historique du Moyen-Age européen qui vit s’opposer le pouvoir temporel de l’empereur et celui spirituel du pape.
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Abbaye Notre-Dame d'Orval
Trois mille ans plus tard, les premiers arbres y apparaissaient, pins sylvestres, bouleaux, puis hêtres: toute une forêt que l'homme commença à défricher entre 1800 et 1200 avant l'ère chrétienne. Y a-t-il eu sur ce site quelque habitat humain, un village, avant l'établissement des moines ? Rien ne le prouve dans l'état actuel de nos connaissances. On n'a retrouvé que des tombes mérovingiennes, aux abords de la source.
Les premiers moines à s'installer à Orval arrivèrent du sud de l'ltalie en 1070. Le seigneur de l'endroit, le comte Arnould de Chiny, les accueillit et leur donna des terres prélevées sur son domaine. L'église et les bâtiments conventuels furent aussitôt mis en chantier. Pour des motifs que nous ignorons, ces pionniers se retirèrent après une quarantaine d'années. Othon, fils d'Arnould, les remplaça alors par une petite communauté de chanoines qui put mener à bonne fin les constructions entreprises par leurs prédécesseurs; en 1124, I'église achevée était consacrée par Henri de Winton, évêque de Verdun. Mais les chanoines connurent bientôt des difficultés d'ordre économique. Ce qui les poussa à solliciter leur rattachement à l'Ordre de Cîteaux, alors en pleine expansion. Leur demande fut transmise à saint Bernard, qui accepta, et confia la reprise d'Orval à l'aînée de ses maisons-filles, l'abbaye de Trois-Fontaines en Champagne.
Le 9 mars 1132, sept moines cisterciens arrivèrent à Orval, avec à leur tête Constantin. Moines et chanoines s'unirent en une seule communauté, et s'employèrent aussitôt à adapter les bâtiments aux usages cisterciens. La nouvelle église fut achevée avant 1200.
Les cisterciens veillèrent aussi à créer un domaine agricole et forestier, dont l'exploitation leur permettrait de vivre selon leurs observances. Les terres qui entourent immédiatement le monastère sont pauvres et ne conviennent pas à la culture. Dès 1132, les religieux reçurent un petit domaine à une vingtaine de kilomètres de chez eux, à proximité de Carignan ; ce devait être le noyau de leur plus belle "grange", celle de Blanchampagne. Au cours des années qui suivirent, ils reçurent d'autres terres en donation. Parmi elles, il convient de mentionner le groupe de Buré-Villancy, en Meurthe-et-Moselle, qui sera le centre de l'industrie du fer des moines d'Orval.
Durant cinq siècles, Orval ne connut qu'une existence effacée, semblable à celle de beaucoup de monastères de l'Ordre. Pendant le 12e siècle, L'abbaye paraît avoir été prospère ; dès le milieu du siècle suivant, les calamités seront souvent son lot pour de longues périodes. Elle fut ravagée vers 1252 par un incendie dont les conséquences pesèrent sur la communauté pendant près d'un siècle. Certains bâtiments durent être entièrement reconstruits. La misère fut même un moment si grave que les autorités de l'Ordre de Cîteaux allèrent jusqu'à envisager la suppression du monastère.
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Abbaye Notre-Dame d'Orval
Il y a 950 ans naissait l’une des plus emblématiques abbayes de Belgique : celle d’Orval. Niché au fond d’une somptueuse vallée, à Villers-devant-Orval, le monastère cistercien, connu dans le monde entier pour sa célèbre trappiste, présente un riche passé. Retour sur près de dix siècles d’histoire.
Il faut remonter à l’année 1070 pour trouver les premières racines de l’abbaye d’Orval dans une charte conservée aux archives de l’Etat. Ce certificat stipule que le comte Arnould de Chiny offrit des terrains à un groupe de moines bénédictins arrivant de Calabre, en Italie. Ces derniers s’employèrent alors à l’érection d’une église et d’un prieuré. Quatre décennies plus tard, les moines toscans décidant de se retirer, Othon, fils d’Arnould, les remplaça par une petite communauté de chanoines qui put mener à bonne fin les constructions entreprises par leurs prédécesseurs. En 1124, l’abbaye d’Orval était née.
Cinq siècles d’une existence discrète
En proie à des difficultés économiques, la communauté de chanoines demanda rapidement à rejoindre l’Ordre de Cîteaux, en pleine expansion. Sept moines cisterciens de l’abbaye de Trois-Fontaines, en Champagne, arrivèrent alors avec à leur tête Constantin. Durant près de cinq siècles, et malgré un incendie qui a ravagé une grande partie des bâtiments en 1252, l’abbaye permit aux nombreux moines de mener une existence relativement discrète.
Le XVIIe siècle marquera une époque prospère pour l’abbaye qui, en 1605, se voit désigner un nouvel abbé en la personne de Bernard de Montgaillard. Réticente à l’accueillir comme nouvel homme fort, la communauté tombe rapidement sous le charme d’un abbé qui permettra à Orval de vivre ses plus belles heures. Il rétablit l’économie du monastère, restaure la confiance avec les peuples alentour et permet à la communauté de jouir d’une excellente réputation. Fort de celle-ci, l’abbaye regroupe 43 membres en 1619, puis 130 un siècle plus tard. La communauté est alors « la plus nombreuse de tout l’Empire ».
Les ravages de la Révolution française
Les années suivantes seront malheureusement marquées par de grands drames pour l’abbaye. Après que le jansénisme ait amputé la communauté de plusieurs moines, c’est au tour de la Révolution française de frapper de plein fouet le monastère. Le 23 juin 1793, les troupes révolutionnaires pillent et incendient l’abbaye. Il ne reste plus rien. La communauté est dispersée et seuls les murs calcinés et les ruines peuvent témoigner d’un passé glorieux.
La bière d’Orval, star de l’abbaye
Sa popularité, l’abbaye la doit notamment à ses produits de bouche et, principalement, à sa bière. L’Orval est l’une des onze bières trappistes, c’est-à-dire brassée dans une abbaye sous le contrôle de moines trappistes. Avec sa robe ambrée et la forme de sa bouteille si particulière, l’Orval est particulièrement apprécié des amateurs de bières.
Le fromage, fabriqué à l’abbaye, également sous le contrôle des moines, jouit aussi d’une excellente réputation. Ce fromage à pâte semidure et à la croute orange vif si caractéristique est vendu et apprécié, à l’instar de la bière, aux quatre coins de la planète.La résurrection au XXe siècle
Il faudra attendre plus d’un siècle pour revoir la vie monastique renaître. En 1926, la famille de Harenne offre les ruines d’Orval à l’Ordre de Cîteaux qui enjoint un groupe de moines à former la nouvelle communauté. L’œuvre titanesque de la reconstruction est entreprise par Dom Marie-Albert van der Cruyssen, moine de l’abbaye Notre-Dame de la Trappe (entre Paris et la Normandie). Très vite, grâce aux revenus d’une brasserie et d’une fromagerie développées au sein de l’abbaye, un nouveau monastère, construit selon les plans de l’architecte Henry Vaes, s’élève sur les fondations mêmes du monastère du XVIIIe siècle. Le 8 septembre 1948, la consécration solennelle de l’église est célébrée et l’abbaye, tel qu’on la connaît aujourd’hui, renaît de ses cendres.
Aujourd’hui, l’abbaye d’Orval est devenue l’une des plus populaires du pays. Malgré près de dix siècles d’histoire, le monastère cistercien a su résister aux injures du temps et offre aux milliers de personnes qui le visitent chaque année un spectacle saisissant.
La légende de Mathilde de Toscane
Une légende raconte que c’est à Mathilde de Toscane que l’on doit la naissance de l’abbaye d’Orval. De passage dans la région, la comtesse, plongeant sa main dans une source jaillissante, perdit son anneau nuptial. Implorant Dieu pour le récupérer, elle reçut l’aide d’une truite surgissant de l’eau et tenant en sa gueule le précieux métal. Mathilde de Toscane s’exclama alors : « Vraiment, c’est ici un Val d’or ! ». En guise de reconnaissance, elle décida de fonder un monastère en ce lieu béni. La fontaine éponyme au cœur de l’abbaye, les nombreuses références sur les ferronneries d’art du monastère et les produits de l’abbaye, ainsi que le célèbre vitrail de Jean Huet, ont permis à cette légende de traverser les siècles.
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La Voie verte Sud Ardennes
https://sig.cd08.fr/portal/apps/webappviewer/index.html?id=e14968c6f3da4a7287654e8ccc7e3ecc/
Voici le tracé de la voie verte des Ardennes.
En 2020, le Conseil départemental lance un grand projet avec la création d’un nouvel itinéraire cyclable reliant Pont-à-Bar à Brienne-sur-Aisne. De quoi booster le tourisme local. Début des travaux en septembre 2021.
Le Conseil départemental, qui aménage et entretient les 130 kilomètres de la Voie verte Trans-Ardennes, met désormais le cap vers le sud en aménageant un nouvel axe cyclable : la Voie verte Sud Ardennes.Avec cet itinéraire de 110 kilomètres, le Département poursuit son investissement dans le domaine des mobilités alternatives.
Un projet d'envergure…
Le Département devrait entamer les travaux de cette Voie verte Sud Ardennes à la fin de l’année 2020. Un revêtement en enrobé - identique à celui utilisé sur la Voie verte Trans-Ardennes - est prévu sur l’ensemble du tracé afin de permettre la pratique de l’ensemble des formes de randonnées non motorisées (vélotourisme, roller, trottinette, etc.). Ce chantier, cofinancé par le Département, les cinq intercommunalités traversées par ce nouveau parcours, l’Etat, la Région et l’Europe, sera simultanément mené sur l’ensemble du parcours.
L’objectif du Conseil départemental, maître d’ouvrage du projet, est d’offrir les mêmes perspectives à tous les territoires. Avec ces aménagements, qui nécessitent un investissement de 11 millions € HT, le Département espère ouvrir au public ce tracé avant la saison touristique de 2023.... dans un décor bucolique
L’ambition de ce projet, qui fait partie du Pacte Ardennes, est de relier ce nouveau parcours à la Voie verte Trans-Ardennes, un des sites touristiques les plus fréquentés du
département. Cette connexion entre ces deux grands axes permettra aux utilisateurs de relier Givet à la frontière axonaise. Après avoir quitté la Meuse à Vélo à Pont-à-Bar, l’usager empruntera cette nouvelle voie en longeant les canaux des Ardennes, de l’Aisne et de Vouziers. Le parcours s’achèvera à la limite avec le département de l’Aisne qui prévoit déjà de son côté de prolonger cette voie verte sur son territoire afin de la connecter à l’EuroVelo 3, créant ainsi la jonction avec la Meuse à Vélo (Euro Vélo 19).
Avec ce tracé, le Conseil départemental valorise ainsi une grande partie du territoire et des équipements touristiques qui le jouxtent : La Cassine, Lac de Bairon, Domaine de Vendresse, Parc Argonne Découverte… De quoi concilier balade au grand air et divertissement pour toute la famille.J'ai la chance d'habité a 400 mètres de celle ci, donc au fur et à mesure que je la découvre je vous posterai les photos.
A Givry sur Aisne, ils renforcent les digues
J'admire comment ils ont tout fait pour sauver l'arbre.
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Ecole Sainte Thérèse à Rethel 08
Je ne sais pas si je dois dire que j'ai eu la chance de connaitre Sainte Thérèse comme sur les cartes postales, en tant que pensionnaire, ou pas de chance, mais je n'en garde pas un mauvais souvenir, j'ai été la plus jeune pensionnaire qu'ils aient eu.
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Givry sous la neige, c'est magique
Le canal
La rivière de l'Aisne, très haute
Les inondations, comme tous les ans
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On ne t'oubliera jamais, et je ferai tout pour ne pas que ca arrive.
Ici je vais regrouper tous ce que j'ai en ma possession de Toi, Photo et autres.
Tu es né un 3 février 1979, un rayon de soleil.
Tu nous as quitté pour le monde des étoiles avec Audrey HUMBERT, le 16 octobre 2000, en allant travaillé. Mon cœur c'est brisé pour une 3 eme fois, je ne m'en remettrai jamais. Frérot, mon petit con, tu me manques.
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Kolymbia, Ile de Rhodes
Les plages sont en cailloux
Beaucoup de roche, ca me fait penser un peu au Mexique.
Ici on voit tous les hôtels, c'est un village de vacances
Très peu d'oiseaux, et on y voit pas mal de tas d'ordure comme ici en pleins milieu d'un chemin.
Des constructions à l'abandon, des détritus partout
Le devant d'un hôtel de luxe, mais un vrai 5 étoiles
Un restaurant en ruine, en pleins milieu de la zone touristique
Une grade partie des trottoirs sont avec le signe de l'espérance
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Hôtel Lydia Maris, Kolimbia
Les salades de crudités étaient très bonne, seule point positif, au niveau gastronomique de l'hôtel.
Le coin de boisson en libre service, même le vin, certains en buvait dès 9h00 du matin.
Le coin pour les enfants, et l'endroit ouvre vers 16h il y a une soit disant collation.
La fameuse baignoire qui serre que de douche
La douche fuit, donc quand on sort de la douche tout est trempé, le sèche cheveux est beaucoup trop court, et les pieds dans l'eau pas top., la mousse de la douche repasse par le carré d'évacuation d'eau parterre a coté des WC, rien de top.
Petite terrasse tranquille des suites. Deuxième chambre de la suite.
La chambre principale de la suite
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Hotel Lydia Maris, Kolimbia
Un hôtel 5 étoiles, qui ne vaut que 3,5.
Personne ne parle Français, malgré le hall inclusives, faut toujours payer, (pesage des valises, coffres fort dans la chambre, ....)
Et bonjour l'aimabilité des serveurs.
L'hôtel est propre en moyenne, les chambres sont bien nettoyées, le bar quand à lui n'est pas nettoyé régulièrement, le comptoir qui donne sur la piscine est tout collant, les tables ne sont pas désinfectée entre chaque client, nous sommes quand même en période sanitaire.
Vue sur le jardin, pas top, on entend le bruit d'une pompe
Quand on demande une chambre avec un lit de deux personnes, on se retrouve avec deux lit de 90
et là en rallant et en payant encore un supplément on a une suite, là rassurez Vous ils comprennent le Français
La nourriture, n'était pas digne d'un 5 étoiles, mais plutôt d'une cantine.
Elle était seulement jolie.
Le matin, tout était mélangé, le salé, le sucré
Cette carte nous servait a rentrer dans notre chambre, et a voir le courant, des qu'on quittait la chambre avec cette carte, on n'avait plus d'électricité, donc plus de clim
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Bounty et Caramel, sont mes deux boules de poils de chinchillas, aujourd'hui ils vont sur 16 ans. Certaines photos ne sont pas nettes, mais se site servira de souvenirs pour mes futurs générations .
Bounty, prêt pour Noel
Bounty en mode câlin Le casse tête de la noix
Caramel étudie Bounty rêveur
Les malin mettent leurs pattes sur mon téléphone, et les prises de photos se déclenche
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Canard blanc de l'Allier
Le Canard blanc de l'Allier, ou Canard blanc du Bourbonnais, est un canard domestique au plumage blanc originaire du Bourbonnais sélectionné à partir du canard d'Aylesbury. Cette région a une tradition de sélection d'espèces de volailles au plumage blanc ( Poule bourbonnaise, oie du Bourbonnais..
Présent depuis fort longtemps dans le Bourbonnais, ce grand canard a vu son standard établi le 21 janvier 1950 par la Commission spéciale de l'Union avicole bourbonnaise-Bourbonnais-Club.
Le blanc de l'Allier est un grand canard précoce au dos long pouvant dépasser les 4 kg pour le mâle et les 3,5 kg pour la cane. Sélectionné pour sa viande par sa grande aptitude à l'engraissement, il est très rustique, massif et trapu. Sa quille (jabot descendu) est marquée1. Son port est plus horizontal que l'Aylesbury et il est d'allure vive et dégagée. Son plumage doit être d'un blanc sans taches ni reflets jaunes2 ou safranés. Son bec est blanc rosé et ne doit avoir ni marques de jaune, ni marques de noir.
Les œufs de cane sont de 80 g à coquille blanche. La cane pond de 150 à 180 œufs par an. Le baguage est de 18 à 20 mm
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J'ai eu la chance de pouvoir tester le Boursin en cuisson, un pur régal.
Quand on est sélectionner pour tester u produit, on doit faire des photos et de partager pur faire connaitre celui ci
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Le flamand rose, et magnifique, j'ai eu la chance de pouvoir en observer à Gruissan, en France
Longtemps considérés comme deux sous-espèces (Phœnicopterus ruber ruber et Phœnicopterus ruber roseus) d'une même espèce, les Flamants roses de la région Caraïbe et ceux de l'ancien monde sont maintenant (depuis 2002) acceptés comme deux espèces à part entière, le Flamant rose (Phœnicopterus roseus) en Afrique, Europe et Asie et le Flamant des Caraïbes en Amérique.
Cet oiseau est une véritable curiosité de l'avifaune européenne avec une silhouette et des colorations uniques sur le continent : c'est la seule espèce de phœnicoptéridé (famille des flamants) représentée en Europe.
Seules la France et l'Espagne hébergent des colonies nicheuses en Europe.
La femelle est plus petite que le mâle.
L'espèce ne peut être confondue : l'oiseau posé présente un corps entièrement rose clair, de longues pattes roses palmées, un bec court et recourbé, à pointe noire.
En vol, la silhouette caractéristique est très allongée (pattes et cou tendus) : les ailes sont alors bien visibles. Les rémiges primaires et secondaires sont entièrement noires et les couvertures rose vif avec des nuances tendant vers le blanc.
Les immatures (juvéniles ou sub-adultes) sont peu colorés : les pattes sont sombres, le cou et le dessous blanc sale, et le dessus marqué de brun. La couleur rose apparaît au cours des années, jusqu'à 4 à 7 ans, où l'intensité est à son maximum.
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La morille,
Il y a plusieurs espèces de morilles, nous verrons celles que je croiserai lors de mes balades
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Le jardin des Capellan, à St Cyprien
C'est un très beau parc, et gratuit
Régulièrement, il y a des expositions d'art
De beaux bassins
On peut se balader dans ls bambous
Magnifiques sculpture de pierre.
Il y a de beaux grands arbres, comme sur la photo du milieu, un très grand magnolia
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St Cyprien (66)
J'ai pu voire pas mal de crabe
Je ne sais pas ce que ca peut être
Ca pique
J'aime photographier tout ce que je trouve jolie.
Je ne sais plus ou j'ai photographié ce phare
De gros coquillage qui épousent les rochers.
Chaque instant est différent.
Magnifique cactus
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