• La cathédrale de Reims

     Petit tour dans le parc derrière de la cathédrale 

    La cathédrale de Reims

     

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  • REIMS et son marché de Noel en 2016

     

    REIMS et son marché de Noel en 2016

     

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  • REIMS et son marché de Noel en 2007

     

    REIMS et son marché de Noel en 2007

     

     

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  • Le tramway de Reims est un réseau de tramway qui relie, depuis le 16 avril 2011, le quartier rémois d'Orgeval, au nord de la ville, à la gare TGV de Bezannes, au sud-ouest de Reims.

    Il présente la particularité d'être le premier exemple de « partenariat public-privé » de France en ce qui concerne une infrastructure de ce type.

    Le budget définitif du projet, adopté le 22 juillet 2008 et supporté en majorité par le concessionnaire, s'élève à 345 396 325 euros (valeur 2011), soit environ 30 800 000 €/km.

    De 1881 à 1939, la ville de Reims posséda un réseau de tramway de cinq lignes.

    Il fut exploité jusqu'en 1901 par des tramways hippomobiles puis par des tramways électriques dès l'année 1900.

    L'idée de la nécessité du tramway à Reims n'est pas nouvelle, puisque les premières études remontent à l'année 1984, concernant déjà un axe Théâtre (Opéra) - Croix-Rouge - Hôpital, afin de soulager la ligne H, sur laquelle les premiers problèmes de surcharge apparaissent alors. Parmi les différents modes étudiés, dont un métro léger, c'est finalement le tramway qui est choisi. Le projet, soutenu par le Président du District de ReimsJean-Louis Schneiter, est confié pour études de faisabilité à la SOFRETU, filiale de la RATP.

    Son avis se révèlera en tous points positif. En outre, il est préconisé de prolonger la ligne jusqu'à la gare SNCF et aux Châtillons.

     

    Le tramway de Reims

     

    Ce sont déjà le constructeur Alsthom et une entreprise de construction filiale de Bouygues, qui sont retenus pour le projet. Un groupement est alors formé, qui communique officiellement le projet aux instances dirigeantes. En 1986 le projet est présenté au public, avec la venue d'une rame nantaise en gare de Reims.

    Cette initiative a un grand impact sur la population, enthousiasmée. Des délégations sont aussi envoyées à Nantes et Grenoble, afin d'expérimenter le TFS qui avait été retenu. Des expositions sont également présentées aux foires expositions et au point d'information du réseau TUR notamment.

     

    Le tramway de Reims

    Le district fait une demande de considération du dossier par l'État en 1988 ; le projet est rendu « prioritaire » fin 1989. En février 1991, au terme des dernières études et alors que le budget du projet, s'élevant à 750 millions de francs courants hors taxes et tenant compte des subventions étatiques, venait d'être adopté le 13 novembre 1990 par le conseil de district, le maire de l'époque Jean Falala prend, à l'étonnement général, la décision d'abandonner le projet.

    Il invoque officiellement d'hypothétiques difficultés d'insertion, la suppression de places de stationnement ainsi que de plantations, mais cède plus concrètement aux oppositions des riverains et commerçants, malgré l'enthousiasme général porté au projet.

    Le tramway de Reims

    La mise en service de la ligne d'une longueur de 7,4 km était prévue pour 1994, ce qui aurait fait de Reims la quatrième ville de France à rentrer dans le cercle fermé des villes exploitant un tramway.

    Le projet comportait à l'époque 19 stations et aurait desservi le quart de la population rémoise, avec 15 rames circulant de 5h30 à 23h00, pour une fréquence moyenne de 6 minutes, transportant 9 millions de passagers par an. À l'époque, le premier adjoint au maire, Jean-Louis Schneiter, a très mal vécu l'abandon de ce projet dont il a eu la charge. C'est donc tout naturellement qu'il l'a relancé une fois parvenu à la tête de la municipalité et de Reims Métropole.

     

    Le tramway de Reims

    Le tramway répond aux nécessités de rénovation urbaine des quartiers Orgeval et Croix-Rouge, quartier accueillant plus de 20 000 habitants logeant en majorité en logements à loyers modérés construits dans les années 1960 et 1970, et devrait contribuer au renforcement, à terme, de l'attractivité de l'avenue de Laon, artère commerçante majeure, ainsi que des halles du Boulingrin qui ont été rouvertes en 2012, tout en offrant une meilleure desserte du centre-ville, permettant un renforcement et un nombre plus élevé de liaisons périphériques. Le tracé est en outre conçu afin de faciliter les interconnexions avec les réseaux urbains, interurbains et ferrés à la gare centrale. Le tramway desservira ensuite des pôles fortement générateurs de trafic rive gauche, tels la future Cité administrative, la Comédie de Reims (scène nationale), le stade Auguste-Delaune, le parc Léo-Lagrange, la polyclinique Courlancy…

    Le tramway de Reims

    À l'heure actuelle, bien que la communication aux utilisateurs aille dans ce sens, il est difficile de parler de deux vraies lignes en exploitation plutôt que d'une ligne avec embranchement. En effet, les deux lignes ont un tracé quasi-intégralement identique, leur terminus ne différant que de deux stations : la ligne A faisant son terminus devant le centre hospitalier universitaire Robert-Debré, la ligne B faisant son terminus à la station Champagne TGV, et desservant symboliquement la zone d'activité à venir. Cette dernière station se situe à quelques centaines de mètres de la gare car la solution consistant à gravir la butte artificielle sur laquelle a été bâtie la gare, avant la validation du tracé du tramway, a été jugée trop chère (environ 15 millions d'euros), ce à quoi la construction d'un mail piéton, plus économique, a été préférée. Seule les lignes 12 et 13 peuvent accéder directement en face de la gare, sur la butte.

     
    Un Agora L surchargé sur la ligne H.

    Le tracé des deux lignes ont été défini selon la fréquentation des lignes de bus. Le tramway remplace notamment la ligne H, connue pour sa saturation, ainsi que les lignes A et C dans le quartier Orgeval4. Le remplacement de la ligne H par une ligne à très haute capacité était un enjeu important, car elle était en saturation depuis plusieurs années. Bien que cadencée avec une fréquence de 5 minutes incompressible et exploitée en articulés, elle était malgré ces moyens incapable de soutenir la charge : la plupart des véhicules étaient toujours pleins, et il n'était pas rare d'en voir deux se suivre aux heures de pointe. Les deux lignes traversent l'agglomération à la vitesse commerciale de 20 km/h (vitesse maximale de 80 km/h).

    La pertinence de ce tracé lui fait desservir un nombre élevé de 70 500 habitants, plus 26 500 emplois et 15 200 étudiants, pour une fréquentation estimée de 45 000 voyageurs par jour. Le quartier de la Croix-Rouge, avec ses 21 000 habitants et sa cité universitaire (campus Droit, Lettres et Sciences économiques de l'URCA et les deux campus de RMS), représente une forte part de ces utilisateurs.

    Tous les projets de tramway réalisés jusqu'alors en France ont vu leur fréquentation être supérieure à celle estimée au niveau du projet.

     

     

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  • La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Lieu du sacre de vingt-cinq rois de France, la Cathédrale de Reims acquiert pour le monde contemporain un destin européen après la réconciliation franco-allemande officialisée sous ses voûtes par Charles de Gaulle et Konrad Adenauer en juillet 1962.

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Une référence universelle

    Notre-Dame de Reims est incontournable sur le plan de l’histoire de l’art : fleuron de l’architecture gothique, la Cathédrale, qualifiée de référence universelle, est inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1991. Haut lieu du tourisme champenois, l’édifice accueille chaque année 1,5 million de visiteurs.

     

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Une histoire millénaire

    D’autres cathédrales ont précédé la construction de l’édifice actuel, entreprise en 1211. Au même emplacement, sur d’anciens thermes gallo romains, s’est élevée une cathédrale paléochrétienne, premier édifice d’occident dédié à Marie, précédée d’un baptistère où Clovis fut baptisé à la fin du Vème siècle par l’évêque Remi, investissant déjà les lieux d’une destinée historique puisque ce baptême entraînera la tradition du sacre des rois de France à Reims.

     

    Puis, au IXème siècle, Louis-le-Pieux, à la suite de son sacre impérial à Reims, autorisa le démantèlement partiel du rempart de la ville dont les pierres servirent à édifier une cathédrale représentative de l’architecture carolingienne. Transformé, reconstruit, l’édifice brûla le 6 mai 1210. C’est un an jour pour jour après l’incendie, le 6 mai 1211, que l’on commença à élever une nouvelle cathédrale. 

     

     

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Il y a 800 ans…

    Quand on entreprit la construction de la Cathédrale en mai 1211, une première génération de cathédrales gothiques avait déjà vu le jour à Senlis, Noyon, Laon ou Paris, des édifices de moindre hauteur intérieure en raison d’un contrebutement extérieur effectué par des arcs-boutants encore peu aboutis. Puis à Soissons, Chartres, Reims, avant Amiens et Beauvais… les cathédrales furent alors de plus en plus hautes et lumineuses pour répondre à la demande des théologiens de l’époque.

    La cathédrale Notre-Dame de Reims


    Dans ce dessein, les bâtisseurs de la Cathédrale de Reims innovèrent, avec une fenêtre châssis élancée, répétée dans tout l’édifice et pris pour modèle dans l’Europe entière. Ils évidèrent au-dessus des trois portails de la façade les tympans de pierre remplacés par des vitraux pour la première fois dans l’histoire de l’architecture.

    La cathédrale Notre-Dame de Reims


    La voûte de la nef monte à 38 mètres, épaulée à l’extérieur par des arcs-boutants dont la technicité performante est métamorphosée en cortège d’anges. L’ornementation, le décor de la Cathédrale relèvent, comme l’architecture, d’un dynamisme novateur : les vitraux illustrent à l’intérieur les récits narrés par la statuaire à l’extérieur de l’édifice avec une prodigalité inégalée. La Cathédrale est le manifeste de la monarchie sacrée à Reims avec l’omniprésence de Marie « reine du ciel » à qui la Cathédrale est dédiée, et avec la représentation répétée de la filiation symbolique entre les rois de la Bible et les rois de France. 

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    La construction de la Cathédrale, commencée par le chevet, s’étendit durant tout le XIIIeme siècle pour le gros oeuvre, les parties hautes des tours n’étant achevées qu’au XVeme siècle quand un incendie détruisit la charpente en 1481 : la toiture refaite, les travaux s’arrêtèrent en 1516 sans élever les flèches prévues.

     

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Du XXe au XXIe siècle

    Edifice emblématique de l’histoire de France, la Cathédrale, incendiée en 1914 par l’artillerie allemande, fut prise pour cible jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale. Henri Deneux, architecte en Chef des Monuments Historiques, releva la Cathédrale de ses ruines et la dota, grâce à la générosité de John David Rockefeller Jr, d’une charpente en béton armé qui est aujourd’hui un atout attractif incontournable, soutenant la toiture en plomb rétablie.

    La cathédrale Notre-Dame de Reims


    Les maîtres-verriers rémois qui mirent leur art au service, entre autres réalisations, de Marc Chagall pour les fenêtres de la chapelle axiale en 1974, mais aussi les sculpteurs, les tailleurs de pierre et toutes les entreprises qui continuent aujourd’hui à restaurer la Cathédrale, œuvrent à sauvegarder notre histoire et contribuent à la création artistique contemporaine.  

      

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    Une statuaire exceptionnelle

    La Cathédrale de Reims a une très riche statuaire, supérieure à celle de toutes les autres cathédrales européennes. 2303 statues ornent l’édifice dont 211 de 3 à 4 m de hauteur et 788 animaux de toute grandeur. On peut observer notamment sur le portail gauche la statue de l’Ange au Sourire, emblème de la ville de Reims, et celle de la Reine de Saba restaurée en 2006-2007. A 50 mètres du sol, sur la face occidentale, se trouve la « galerie des rois » avec, au centre, le baptême de Clovis. Plus bas, on peut admirer le récit du combat de David contre Goliath et, 

    juste au-dessus du grand portail, le couronnement de la Vierge. Notre-Dame de Reims se distingue par une rare unité de style, malgré une construction qui s’étendit sur plus de deux cents ans (principalement au XIIIe siècle).

     

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    La tradition de l’art du vitrail

    Malgré les destructions successives entamées au XVIIIe siècle, la Cathédrale de Reims possède encore de nombreux vitraux du XIIIe siècle, regroupés dans les parties hautes de la nef, du chœur et du transept. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, la Cathédrale reçoit à intervalles réguliers des vitraux contemporains. Les plus célèbres sont trois fenêtres de Marc Chagall de 1974, situés dans la chapelle axiale : l’arbre de Jessé, les deux testaments et les grandes heures de Reims. En 2011, année du 800e anniversaire de la Cathédrale, l’édifice accueille les vitraux de l’artiste allemand Imi Knoebel, qui prennent place dans les deux chapelles d’abside adjacentes à la chapelle Chagall.

     

    La cathédrale Notre-Dame de Reims

    La Cathédrale de Reims, c’est…

    • Un label international, le classement UNESCO en 1991
    • La Cathédrale du sacre des rois de France depuis le Xème siècle
    • Une réalisation majeure de l’art gothique avec une statuaire unique de 2303 statues
    • 1,5 million de visiteurs par an, toutes nationalités confondues
    • Une longueur totale hors œuvre de 149,17 m (130 m pour Notre-Dame de Paris et 145 m pour Notre-Dame d’Amiens)
    • Une hauteur de nef à 38 m (33 m à Paris)
    • Une hauteur des deux tours de façade à 81,50 m (69 m à Paris).

     

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  • La fontaine Subé de REIMS

    La fontaine Subé de REIMS

    Cette fontaine monumentale a été érigée en 1903 au centre de la place Drouet d'Erlon, (appelée familièrement place d’Erlon par les Rémois) suite au déplacement de la statue du maréchal Drouet d’Erlon angle boulevards Henri Vasnier et Victor Hugo. 

    La fontaine Subé de REIMS


    Œuvre du sculpteur André Narjoux et des sculpteurs Paul Gasq, Paul Auban, L. Baralis et de l’ornemaniste Charles Wary , elle fut choisie sur concours parmi 85 maquettes.

    La fontaine Subé de REIMS

    On la doit à la générosité du Rémois Auguste Subé. 

    La fontaine Subé de REIMS


    Aux 4 coins de son piédestal, 4 statues symbolisent les rivières qui arrosent la région : la Marne, la Vesle, la Suippe (orthographiée avec un " S " par erreur sur le monument) et l'Aisne.

     

    La fontaine Subé de REIMS

     

     

    La Gloire, une victoire ailée en bronze doré, prise par les allemands en 1941, a été remplacée à l'identique en 1989 grâce à une autre action de mécénat.

     

    La fontaine Subé de REIMS

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  • Reims et sa cathédrale

     

    Reims et sa cathédrale

     

    Reims et sa cathédrale

     

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