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Ce que j'aime dans ce parc, c'est la diversité des fleurs,
J'adore les nénuphars géants de ce jardin botanique. Cet année, je ne le trouvait pas, j'ai fait la visite à l'envers, malgré que je possédais le plan.
Voici le héron strié de l'île Maurice
Voici une Couroupita guianensis Aubl, elle est magnifique, on dirai de la porcelaine.
Cet oiseau a un drôle de nom, le "Martin triste"
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Jardin botanique de Pamplemousse 2024
Nous avons pu voire quelques oiseaux
Quelques tortues, ainsi que des chauves souris
Une classe d'école, avec de jeunes enfants en uniformes
Nous avions déjà été dans ce jardin en 2019, et cet année nous avons pu constaté que pas mal de bassins étaient vide.
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Le 11 aout 2024, nous sommes allées pour la 2 eme fois, mais cette fois-ci nous avons emmené notre petite fille, Elle a adoré.
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 9 Septembre 2024 à 20:59
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 9 Septembre 2024 à 20:39
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Le 11 aout 2024, nous sommes allées pour la 2 eme fois, mais cette fois-ci nous avons emmené notre petite fille, Elle a adoré.
Nous avons trouvé que le parc était mieu entretenu, mais il y avait pas mal d'enclos vide.
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 8 Septembre 2024 à 21:05
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 8 Septembre 2024 à 20:16
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 8 Septembre 2024 à 19:28
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 29 Juillet 2024 à 22:12
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Par DaNa Photographie. dans Nausicaa, l'aquarium de Boulogne-sur-Mer (62) le 27 Juillet 2024 à 15:58
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Le Parc de la Falaise
J'ai pu me balader dans ce parc, cet année au mois de juin 2024, il y avait pas mal de vent, mais se balader au cœur de se parc, est très agréables, j'ai pris quelques clichés pour vous le faire découvrir.
Ce parc de 27 hectares surplombe la mer et est animé d’une faune et d’une flore variées…
Un petit coin de paradis pour les enfants, qui ont aussi à disposition une aire de jeux, ainsi qu’un parcours de santé et une aire de cross training interactive pour les plus grands.
En dehors du jogging, vous pourrez également y pratiquer le mini-golf.
Une partie du parc exhibe des fossiles géants et des squelettes de dinosaures.
Ce site est par excellence le poumon de la ville où aiment à se retrouver les parents et leurs enfants.
Nombre d’événements y ont lieu toute l’année.
Il y a un petit étang, les petits chemins sont très bien entretenus, les vélos et les chiens y sont interdits, après pour se qui est des chiens, ce n'est pas plus mal, quand les maîtres ramasseront les excréments de leurs charmants toutous, sa sera peut être autorisé.
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Le Portel, je le conseil pour les amoureux de la nature. Pendant notre séjour, il y a eu pas mal de vent
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Les découvertes de gisements de pierres taillés, de nécropoles à Alprech et de monnaies romaines attestent la présence de populations sédentaires dès le monolithique à Le Portel. C’est dans une petite anse formée par l’embouchure d’un ruisseau (le Tihen) que s’installèrent ses premiers habitants. En 1208, Le Portel faisait partie du fief de Tihen, allié du duc de Flandre. Ce domaine s’étendait sur la Salle, Outreau, Manihen, Alprech, Ningles et Equihen. Ce n’est qu’en 1339 qu’apparaît pour la première fois le nom de Le Portel dans le compte du domaine de Boulogne rendu à Marguerite d’Evreux. On y apprend l’existence d’un « four banal ».
En 1415, on y précise que les marins de Le Portel-Plage contribuaient à l’entretien du feu de la tour d’Odre (phare romain construit sous Caligula) depuis la Saint Michel jusqu’à Pâques. En 1545, le maréchal du Biez y établit son quartier général dans la tentative de François 1er de reprendre Boulogne occupée par les anglais. Petit village de pêcheurs en 1725, la population de le Portel-Plage s’élevait à 120 feux, elle s’accrut rapidement au cours des 18e et 19e siècles.
En 1803, pour défendre les préparatifs d’un débarquement en Angleterre, Bonaparte ordonna la construction, sur le socle rocheux de l’Heurt, d’un fort dont nous voyons encore les vestiges.
Les travaux commencèrent le 24 mai 1803 et furent achevés le 16 juillet 1804. La défaite de la marine française à Trafalgar et les préparatifs de guerre de la Prusse et de la Russie détournèrent Napoléon de son projet. Après l’épopée napoléonienne, le fort fut désarmé sous la Restauration.De Napoléon à aujourd’hui
Construite tardivement, la première église de Le Portel fut édifiée et financée grâce aux marins Portelois avec « la part de Dieu », chaque marin et patron de bateau abandonnait 1/8 du produit de sa pêche pour la construction de celle-ci.
Le hameau de Le Portel rattaché primitivement à Outreau fut érigé en commune le 13 juin 1856 par décret impérial.
La pêche a été de tout temps la principale activité économique. En 1850, 35 à 40 bateaux de pêche sortaient de la gare de Le Portel. Pour protéger cette flotille, on construisit un brise-lames appelé aujourd’hui « épi » à l’ouest de la plage. La première pierre fut posée le 28 août 1867. Les travaux durèrent un peu plus de trois ans et furent entièrement terminés en novembre 1870 pour un coût de 103 000 francs d’or. Ainsi protégée, la plage de Le Portel, qui s’ensabla au fil des ans, devint une plage fréquentée par de nombreux estivants.
Extrait de
« Le Portel Ephémérides, de son origine à 1943 »
du Père CésaireIl est normal que ce hameau de la commune d’Outreau sollicitât un jour ou l’autre son indépendance administrative, après avoir obtenu en 1825 son indépendance religieuse. Tout militait d’ailleurs en faveur de cette séparation car les intérêts portelois, essentiellement tournés vers la pêche, différaient de ceux de la commune d’Outreau, exclusivement orientés vers l’agriculture. Mais obtenir l’indépendance n’était chose aisée, en raison des formalités et des enquêtes.
La première école
L’ouverture d’une école au Portel en 1787 constituait déjà une recherche d’autonomie : les portelois choississent un maître d’école, bâtissent une classe, se cotisent pour payer ce maître et obtiennent de l’Evêque de Boulogne l’ouverture, au Portel même, d’une école.
Indépendance religieuse
En 1825, l’abbé COZE faisait part à l’Evêque d’Arras et au Sous-Préfet de Boulogne du désir des Portelois d’avoir leur église. Il sut comprendre et encourager l’ambition des Portelois. A la suggestion de cet abbé, les Portelois se mirent à l’œuvre pour bâtir une église ; ils constituaient à l’époque les 2/3 de la population d’Outreau. En 1826, un terrain fut acheté. L’acte de vente fut signé le 22 septembre 1826 grâce à la générosité de M. Latteux de Lattaignant, ancien avocat, demeurant Baincthun, fervent catholique de Boulogne. Le 13 avril, une souscription est lancée, elle recueille la somme de 1099 francs et 20 centimes. Le prix de vente était de 10 000 francs. Les patrons de pêche décident alors de verser un pourcentage de part par bateau. Les fondations commencèrent enfin le 14 mars 1827. L’abbé Haffreingue suscite à Boulogne une souscription qui rapporte 515 francs. Par son intermédiaire, Charles X, le roi, remet la somme de 800 francs puis un nouveau don de 200 francs. Pendant que les marins étaient en mer, femmes et enfants allaient chercher sur le rivage pierres et sable nécessaires à la maçonnerie de l’édifice et dans leurs « mannes » au poisson, ils apportaient les matériaux aux constructeurs. La première pierre fut posée le dimanche 28 avril 1827 par le doyen d’âge des marins : Jean Libert. Elle fut bénite par l’Abbé Lépine, curé d’Outreau, en présence des Abbés Haffreingue et Coze. L’église ne fut achevée que le 18 mars 1836 et fut bénite le 10 mai 1839 par l’Abé Leblond, Vicaire à Saint Joseph. La population de Le Portel était alors de 1800 habitants. Le clocher ne fut construit qu’en 1848et l’agrandissement de l’église fut achevé en 1860. Le 11 septembre 1836 eut lieu la bénédiction des deux cloches Caroline Joséphine et Marie Henriette. Les 2 cloches furent remplacées en 1879 et furent bénites par l’Abbé Wallet, Grand Doyen de Notre Dame : Jeanne Marie Gabrielle offerte par la famille Hédouin Lobez et Jeanne Rosalie Jacqueline offerte par Achille Bourgain dit « nain ». Aux funérailles de Monseigneur Haffreingue, le cercueil fut porté sur les épaules des marins portelois. Les marins du Portel, par lettre du 20 août 1835, demandent à Monsieur le Maire que le Conseil délibère sur l’érection de leur hameau en paroisse. Monsieur Latteux de Lattaignant prenant de l’âge confia à son neveu, l’avocat Auguste Gros, les intérêts de l’entreprise. Ce fut M. Gros qui fit aboutir le 31 mars 1837la question de l’érection du Portel en paroisse indépendante. Ce fut lui aussi qui aida les Portelois à obtenir l’érection en commune le 13 juin 1856. Le premier curé fut l’abbé Deltour. Cette église n’avait pas de cachet artistique évident mais elle est pour les portelois le patrimoine sacré de nos ancêtres qui se sont imposé de nombreux sacrifices pour sa construction.
Indépendance administrative
Le Conseil d’Arrondissement et le Conseil de Préfecture se montrèrent favorables à l’indépendance du Portel et le 13 juin 1856, une ordonnance royale de Napoléon III faisait droit à la juste ambition et à l’admirable ténacité de nos ancêtres portelois.
En 1833, Le Portel formait les 2/3 de la commune d’Outreau. Nos aïeuls ont lutté pendant des décades pour devenir paroisse et commune indépendantes d’Outreau. C’est la reconnaissance de l’existence de cette population porteloise laborieuse, vivant en bordure de mer, tournée vers la mer, population active et nombreuse, puisqu’en nombre elle dépassait le reste du hameau. Les démarches ont été multiples, parfois périlleuses, toujours difficiles. Sous l’influence de quelques notables portelois, une demande d’indépendance communale a été adressée le 27 avril 1841 à M. le Ministre de l’Intérieur. Une réponse prometteuse émana du Ministre. Mais l’opposition acharnée et persistante de la Municipalité d’Outreau allait contrecarrer sans pitié et sans répit « cette réponse prometteuse ». La demande fut jugée insolite et irrégulière. Le 19 juillet 1841, une autre demande émanant de 34 portelois fut adressée au Sous-Préfet.
Du 17 au 25 août 1841, une enquête fut menée. 137 personnes opposées, 117 en faveur. Le Président de la Commission Syndicale est invité à s’opposer à la demande. En janvier 1855, les habitants du Portel adressent un dossier à M. le Préfet : « Les Portelois ont remis à sa majesté l’Empereur des Français, Napoléon III, lors de son dernier séjour à Boulogne en 1853, une pétition signée par 204 Portelois demandant la distraction du Portel d’avec Outreau. Le Ministre de l’Intérieur donna ordre d’instruire l’affaire. Le 24 octobre 1854 le Conseil d’Etat nous informe que notre demande a été renvoyée à Monsieur le Ministre de la Marine. Le 26 juin 1844, donc 10 ans auparavant, Monsieur le Ministre de l’Intérieur estimait notre réclamation juste et fondée. Notre hameau a une population de 2800 habitants, agglomération importante et isolée ; nos intérêts sont différents. On met en avant la prétendue impossibilité de composer parmi nous une administration municipale. Cela est à prouver. A la suite de la Révolution de février 1848, le Maire fut un habitant du Portel. Nous n’agissons pas par amour propre mais par intérêt : sur 20 personnes qui se présentent par jour à la mairie, il y a 18 Portelois. Le marin a des relations plus fréquentes que le paysan avec la mairie ».
Après de fastidieuses démarches, le Préfet du Pas-de-Calais est d’avis qu’il y a lieu de distraire de la Commune d’Outreau la section du Portel et de l’ériger en commune distincte qui porterait le nom de Le Portel – le 04 décembre 1855.
Par décret impérial du 13 juin 1856, Le Portel acquiert son indépendance.Les Maires de Le Portel
Le premier Maire de Le Portel (1856-1870)
FOURCROY Gabriel François Rémy, né à Outreau le 04 janvier 1822,
décédé le 31 décembre 1905.
Propriétaire et constructeur de bateaux de pêche.
Il fut maire de la commune de Le Portel pendant 14 ans (1856-1870).
En 1886, il accepte la charge de Conseiller d’Arrondissement et devint Vice-Président du Conseil.Athanase SAUVAGE : maire de 1870 à 1892
Jules TRONCHON : maire de 1892 à 1898
Louis-Marie BOURGAIN-SEILLIER : maire de 1898 à 1900
François GOURNAY-HEDOUIN : maire de 1900 à 1912
Césaire GOURNAY : maire de 1912 à 1935
Augustin LOBEZ : maire de 1935 à 1943
Jules PIROT : maire de 1943 à 1944
Arthur VASSEUR : de 1944 à 1945
Joséphine BOURGAIN : en 1945
Jean COPPIN : de 1945 à 1946
Alfred JUSTIN : de 1946 à 1947
Léon GODARD : de 1947 à 1953
GOURNAY PAUCHET Jbte : de 1953 à 1965
Maurice ISIDORE : de 1965 à 1971
Paul JUSTIN : de 1971 à 1977
Paul BARBARIN : de 1977 à 1995
Laurent FEUTRY de 1995 à 2014
Olivier BARBARIN : Depuis 2014Composition du Conseil Municipal élu les 4 et 5 octobre 1856
N° d’ordre Noms Prénoms Profession 1 PIROT Henri Gérard Constructeur 2 DELFORGE-GIN Pierre Joseph Patron de bateau 3 LIBERT-LEDOUX Jean François Patron de bateau 4 GOURNAY-LEDEZ Jean Jacques Patron de bateau 5 BOURGAIN-GERME Alexis François Patron de bateau 6 BOURGAIN-HEDOUIN Jean Baptiste Benjamin Rentier 7 HONORE Alexis Joseph Maître cordier 8 GERME-BOURGAIN Pierre François Marie Rentier 9 DUSART-GOURNAY Jean Marie Joseph Horloger 10 LAMBERT-COPPIN François Sévère Maître cordier 11 LEFEBVRE-LIBERT Joseph Auguste Marchand de draps 12 MONTIGNY-ROGER Pierre François Meunier 13 FONTAINE-DUVAL Jean Baptiste Napoléon Boulanger 14 LETEILLIER-LEDEZ Pierre Charles Patron de bateau 15 GIN-LIBERT Jean Baptiste Patron de bateau 16 BATTEZ-LEDEZ Louis Marie Maître cordier 17 PAUCHET-FREEL Pierre François Maître cordier 18 LEPRETRE-PAINSET Jean Jacques Tanneur 19 BATTEZ LAMIRAND Jean Baptiste Maître de bateau 20 COEUGNET-ROGER Louis Joseph Marchand épicier 21 SEILLIER-LOEUILLETTE Louis Marie Rentier
L’histoire de Le Portel se dévoile autour de trois sites :
● le Fort de l’Heurt
● le Fort d’Alprech
● le Fort de CouppesLe Fort de l’Heurt a été édifié en 1803 par Napoléon Bonaparte.
» Heurt » tire ses origines » d’heustrière » ce qui signifie » île aux huîtres « , puis au fil des ans est devenu » heustre » et enfin » heurt ». Le projet de construction du fort de l’Heurt fut arrêté par Bonaparte le 30 germinal an XI (20 avril 1803), et la réalisation des plans fut confiée au lieutenant colonel Dode, Sous-Directeur des fortifications. Le 4 prairial (24 mai), les travaux commençaient sous la direction du capitaine du génie Gouville et les premières pierres étaient posées, entamant ainsi la construction de la maçonnerie du fort. Après bien des dommages dues aux tempêtes et aux attaques incessantes des Anglais, le fort fut enfin opérationnel le 16 juillet 1804. Il avait pour but de protéger par le sud le mouillage de la flottille du Camp de Boulogne et avait un jumeau qui se trouvait à la pointe de la crèche.Napoléon Bonaparte leva le camp en 1805, et il fallut attendre la seconde guerre mondiale pour que le fort retrouve son unité militaire.
Le Fort de l’Heurt est devenu aujourd’hui un site moulier. La « pêche aux moules » est une véritable tradition locale pour les portelois et fait la joie de nombreux touristes en visite sur la commune.
Le Fort d’Alprech, édifié en 1880
Après la guerre franco-prussienne de 1870, les anciennes fortifications étant devenues obsolètes, Aldolphe Thiers, 1er Président de la IIIème République, créa un Comité de Défense en vue de la réalisation de fortifications «plus modernes».
Le Général Séré de rivières sera donc chargé de ce projet et donnera son nom à ces fortifications. La batterie d’Alprech sera ainsi construite entre 1875 et 1880 afin de protéger le port de Boulogne.
Pendant les deux guerres mondiales, la batterie d’Alprech, armée de canons et d’obusiers, abrita des casemates destinées au logement d’une centaine d’hommes, et des poudrières.
Elle fut opérationnelle pendant la guerre 1914/18 et occupée par l’armée allemande de 1940 à 1944 ; ceux-ci y implantèrent des radars.Abandonné et recouvert par la végétation, le Fort d’Alprech a été restauré en 1999.
L’ensemble du Fort est en bon état. Il s’agit d’un fort casematé construit en pierre et briques. Plusieurs salles sont visitables : logements de la garnison, poudrière, lampisterie, salles sous traverses.
Le Fort du Mont de Couppes
Le maréchal Dubiez dans le but de reprendre Boulogne, occupée par les Anglais, décide de construire un fort. La Paix de Capécure en 1550 met fin à la guerre, le fort est abandonné.
Napoléon pour mettre au point son projet d’invasion de l’Angleterre, le réarme. Il servira bien souvent de cantonnement à la troupe, particulièrement en temps de guerre. Un sémaphore y sera également installé.
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Le Fort d'Alprech
Le Fort d'Alprech Le site d'Alprech est depuis l'Antiquité considéré comme un poste de défense et de vigie privilégié.
Le Fort d'Alprech de type « Fort Séré de Rivières », est aussi appelé aussi fort d'Alpreck ou d' Alprecht ; il a été édifié sous la IIIe République de 1875 à 1880. La batterie d'Alprech, armée de canons et d'obusiers, abrita des casemates destinées au logement d'une centaine d'hommes, et des poudrières.
Elle fut opérationnelle pendant la guerre 1914/18 et occupée par l'armée allemande de 1940 à 1944 ; ceux-ci y implantèrent des radars.
Abandonné et recouvert par la végétation, le Fort d'Alprech a été restauré en 1999.
L'ensemble du Fort est en bon état. Il s'agit d'un fort casematé construit en pierre et en briques. Plusieurs salles sont visitables : logements de la garnison, poudrière, lampisterie, salles sous les traverses.
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Le Cap d'Alprech, Le Portel, Côte d'Opale
Si tout le monde connaît le Cap Blanc-Nez et le Cap Gris-Nez , en revanche, la renommée du Cap d'Alprech est beaucoup plus confidentielle à la porte de Boulogne sur Mer.
D'une superficie de 12 ha sur la Commune de Le Portel , il culmine à 50mètre d'altitude.
La falaise est coupée au sud par la crique de Ningles environnée de prairies humides parcourues de murets de pierres sèches. Le Cap d'Alprech possède un chemin de randonnée avec une vue imprenable sur la mer, les criques de sable blanc…
De nombreux blockhaus rappellent l’importance stratégique de ce point haut dominant la rade de Boulogne et des remblais hétéroclites témoignent d’une époque récente où prévalait l’adage « Après moi, le déluge. »
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Le phare d'Alprech, est assez difficile d'accès à pied, il y a une bonne montée, et des escaliers. Nous y avons été en voitures, dû a mes difficultés de marchés actuellement.
Caractéristiques nautiques
- Coordonnées géographiques :
- 50°41,9’ N – 001°33,8’ E (WGS 84)
- Hauteur totale : 62 mètres (62.35 m ASML)
- Feu : feu scintillant blanc.
- Rythme : 3 éclats groupés en 15 s
- Lanterne : Lanterne standard Ø 2 m métallique Sautter-Harlé
ESM n° 24150
Optique : à 6 panneaux au 1/6, focale 0,25 m.
Portée : 26 milles (48 kms)Description
Le phare du Portel ou phare d’Alprech est un des six phares du département du Pas de Calais. . Il est situé sur l’emplacement de l’ancien sémaphore du cap d’Alprech. C’est un phare à terre qui malgré sa taille modeste de 17m culmine à l’altitude la plus élevée (62,35 mètres au dessus de la mer) de tous les phares du Pas de Calais.Historique
Le premier phare
On note la présence, dès le 18ème siècle, d’un sémaphore militaire à l’endroit où s’élève aujourd’hui l’actuel phare d’Alprech. A partir du 1er décembre 1818, un feu y est allumé chaque soir. En 1825, le service des phares sollicite la Marine pour lui céder l’emplacement de l’ancien sémaphore afin d’y édifier un phare, suivant en cela une instruction liée au programme général d’éclairage. Une décision ministérielle du 14 juin 1830 entérinera cette demande.
Les vieux bâtiments du sémaphore sont restaurés et au début du mois de novembre 1830, un phare à feu fixe catoptrique blanc est mis en service ; il culmine à 10 m au-dessus du sol, soit près de 50 m au-dessus du niveau de la mer. Il est doté d’un éclairage électrique à lampe (puissance 3000 bougies) suppléé par une lampe à vapeur de pétrole d’une intensité analogue.La modernisation du premier phare
Le service des phares testera alors un système permettant de donner des éclats de couleur aux feux fixes, permettant ainsi d’identifier l’origine du feux. Ainsi dès le mois de juillet 1842, le phare d’Alprech présentera un feu fixe blanc varié par des éclats rouges toutes les 2 minutes avec une focale 0,15 m. Le corps du phare est décrit comme « une tourelle carrée de 10 m de hauteur avec magasin accolé et formant groupe avec le sémaphore ». Le 15 mars 1896, un nouveau feu est mis en place. Il est à éclat rouge toutes les 5 secondes, focale 0,1875 m ; il sera lui même remplacé par un feu ayant les mêmes caractéristiques mais plus puissant en août 1902. Le 27 janvier 1906 il sera à nouveau remplacé par un feu à 3 éclats blancs toutes les 15 secondes ainsi qu’un nouveau brûleur à incandescence par le pétrole. En 1928.on procèdera à l’électrification du feu et on augmentera encore sa puissance. Ce nouveau feu donnera 3 éclats groupés blancs toutes les 15 secondes et comportera une optique à 6 panneaux au 1/6, focale 0,25 m. Le phare sera détruit durant l’été 1944 par les allemands.Le phare actuel
Un phare provisoire sur pylône métallique a d’abord été mis en place après la seconde guerre mondiale (1947) avant qu’un nouveau phare ne soit construit et mis en service en juin 1962 . Il se présente sous la forme d’une colonne métallique blanche entourée par un escalier hélicoïdal extérieur qui conduit à une passerelle portant une lanterne peinte de couleur noire. Ce phare mesure 17 mètres et s’élève à 62 mètres au-dessus du niveau de la haute mer. Il émet un signal défini comme un groupe de 3 éclats blancs toutes les 15 secondes. L’optique est en verre moulé avec 3 lentilles de focale 0,35 mètre. Son éclairage est assuré par une lampe à incandescence aux halogènes d’une puissance de 650 watts. Sa portée est de 26 miles marins.
Il est couplé à un radio phare dont le code est "PH = .—. ...." et qui porte à 30 miles marins. Il a été automatisé en 1977.Il a été inscrit à l’inventaire supplémentaire des M.H. Le 30/12/2010.
La DRAC rappelle dans sa fiche d’inventaire la liste des combustibles utilisés :
- Huile végétale : 1830
- Huile minérale : vers 1873
- Vapeur pétrole : 1906
Électrification : 1928. Automatisation : 1977.
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Cet année, nous avons pu aller vite fait voire les phoques sur la Baie d'Authie, à Berck.
Pour voir les phoques gris et les veaux marins qui constituent cette colonie peuvent être observés tous les jours de l’année, à marée basse, à la jonction entre l’Authie et la Manche, près du Club Nautique Berckois situé au bout du Chemin aux Raisins. Faites attention, toutes les places de stationnements sont payantes.
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Je partage mes clichés lors de cette visite, en espèrent qu'un jour vous pourrez y aller, donc je ne dévoile pas tout.
Ici nous pouvons voire un aquarium en forme de diamant, pour y accéder il faut descendre des escaliers
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La vieille ville de Boulogne-sur-Mer, et vraiment jolie à voire.
Autant les bâtisses que les jardins ont du charme.
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Edifiés au 13ème siècle, ce sont les remparts les mieux conservés au nord de la France. Quatre portes permettent de rejoindre la ville fortifiée typique qui abrite un patrimoine exceptionnel (crypte, château, beffroi…) mais aussi plusieurs bâtiments aux fonctions administratives (Hôtel de ville, tribunal…).
Le chemin de ronde, aménagé en promenade permet de profiter d’un beau point de vue sur la Ville, et sur les jardins conçus au pied des remparts.
Il n'y a pas deux villes comme elle. Quiconque prend le temps de se perdre dans le dédale de ses ruelles reste subjugué par son incroyable diversité. On pourrait presque dire qu'il n'y a pas une mais « des » Boulogne-sur-Mer... Si la basse ville vit au rythme du port de pêche et de son quartier commerçant, la vieille ville, perchée sur son promontoire rocheux, vous plonge dans un passé deux fois millénaire.
2000 ans d'histoire, ça se mérite ! Il faut grimper sur les hauteurs de la cité pour découvrir les plus anciens vestiges de sa longue histoire. Dès 51 avant JC, Jules César fait de Boulogne-sur-Mer son point stratégique pour envahir l'île de Bretagne (actuelle Grande-Bretagne)...
Les familles royales et comtales ont toutes à leur façon marqué de leur empreinte l'histoire de la ville. Là un Château-Musée du XIIIe siècle entouré de remparts, ici un beffroi inscrit au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco, là encore une basilique et sa crypte (l'une des plus vastes de France)... La vieille ville se dévoile tel un musée à ciel ouvert.
Accueillante et dynamique, Boulogne-sur-Mer cultive un bel art de vivre avec des rues piétonnes riches en commerces, des marchés les mercredis et samedis matins (place Danton et place Vignon) et sur le quai Gambetta, le dimanche matin, face aux étals à poissons... Expositions, événements et traditions hautes en couleurs rythment le quotidien des Boulonnais.
Boulogne ne serait pas Boulogne sans son port : une vraie ville dans la ville ! Premier port de pêche français avec une flottille de près de 150 bateaux, elle vit ainsi au rythme des retours de pêche. Plus de 70 espèces de poissons différentes sont débarquées chaque jour et vendues à la Criée. De la capture à la transformation, de la commercialisation à la distribution des produits de la mer, de la formation à la recherche en développement... Boulogne-sur-Mer concentre toutes les activités de la filière. Sur le port, sous les aubettes, vous pouvez, chaque jour, acheter et déguster ce qui fait la renommée de ces joyeux pêcheurs ! A ne pas manquer également : la visite de Nausicaá, Centre National de la Mer pour une belle plongée au coeur de nos mers et océans.
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Au mois de mars 2024, j'ai eu la chance de visiter cette merveille. Un aquarium hors du commun, et un accueil parfait.
Une magnifique danse de méduses .
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Sur la photo de gauche, on peut y apercevoir, un parc aquatique, je ne sait pas si il est à l'abandon, ou en hivernage. Mais il est en triste état.
Sur la photo de droite, on y voit la partie piétonne qui longe la mer, en toute sécurité.
Les cabanons de la plages, typique au Touquet.
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