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Le cirse des marais, également appelé bâton-du-diable, est une plante bisannuelle assez grande, poussant notamment dans les prairies humides, appartenant au genre Cirsium et à la famille des Astéracées
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Salut, je suis la punaise de feu.
* Je suis une punaise de feu, communément appelé un gendarme ... Non, pas de coccinelle.
* Je ne suis pas toxique ni pour l'homme, ni pour les animaux.
* On ne devrait pas me manger quand même, je suis très dur et je n'ai pas de gout .
* Je ne mange pas non plus de feuilles ou d'autres plantes et potager. Je laisse ton jardin comme il est.
* Je mange des restes de fleurs de mortes ou des insectes morts. Donc des déchets.
* C'est pour ça que tu me trouve souvent dans les coins, où la poussière et le reste de la fleur sont emportés par le vent.
* Je n'aime pas les autres insectes et, par conséquent j'ai une odeur un peu forte . L'homme ne peut la sentir que si il est prés de moi à 2 cm. Les chats et les chiens ne me mangent pas non plus.
* si tu aimes les barbecues sans moustiques, laisse moi vivre près de chez toi. Là où je suis, il n'y a pas de moustique
* J'avoue que j'apporte toujours beaucoup d'amis et de la famille.......; Mais si ça ne te dérange pas, on ne fait rien.
* Tu veux m'éloigner de ton appartement ou de ta maison de vacances mets moi ailleurs, si il y a une pile de bois à proximité. c'est là que je me sens bien...mais s'il te plait ne me tue pas !!
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Bourdon sur le groseillier fleur
Le bourdon est plus gros que l'abeille, son vol est plus bruyant, mais ces deux animaux se ressemblent par ailleurs.
La taille du bourdon conduit souvent à penser qu'il s'agit du mâle de l'abeille.
Or, il n'en est rien, ce sont deux genres d'insectes différents.
Le bourdon diffère très peu de l'abeille domestique : il se nourrit du nectar des fruits et récolte le pollen pour nourrir les larves.
Il est donc un important pollinisateur.
Ce n'est en revanche absolument pas le mâle de l'abeille : il existe des reines bourdons et des ouvrières femelles sexuées.
Le terme « bourdon » n'a pas de définition propre ; il désigne des espèces d'insectes volants plus gros que les abeilles.
Le plus souvent, « bourdon » désigne le genre Bombus, de la même famille que les abeilles, les apidés.
Le bourdon est plus gros que le faux-bourdon, le mâle de l’abeille
La confusion entre le bourdon et le mâle de l'abeille vient du fait que ce dernier est nommé faux-bourdon.
Chez l'abeille domestique, le faux-bourdon est de taille supérieure par rapport aux ouvrières, les larves évoluant dans des alvéoles plus grandes.
Ils n'ont pas de dard, ne rapportent pas de pollen pour les larves et ont une durée de vie de deux mois.
Les bourdons se différencient physiquement des apispar leur taille et leur pilosité.
Ces insectes sont plus grands (ils peuvent mesurer jusqu'à 25 mm), sont trapus et ont une pilosité importante.
Celle-ci, couplée au fait que l'insecte est endotherme (capable de produire sa chaleur corporelle), permet au bourdon de voler dès 5 °C (l'abeille vole plutôt à partir d'une quinzaine de degrés).
Le système social est le même que chez les abeilles.
Au printemps, la reine fonde une colonie.
Elle pond d'abord des ouvrières stériles, puis, à la fin de l'été, des mâles et des femelles pour assurer la descendance de l'espèce.
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Parc Argonne Découverte
Inspirez profondément, ouvrez grand les yeux et les oreilles : dans nos bois, vous allez réveiller votre nature sauvage et faire le plein d’oxygène ! Au programme : des animaux fascinants, des RDV avec les soigneurs, des sensations fortes… Des attractions pour tous les âges et pour tous les temps.
Le loup blanc
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Givry et son arbre de la Potence
C’était un peuplier, personne ne se souvient de sa date de naissance ; mais le fait qu’il soit devenu creux témoigne de son grand âge. Il a dû en voir passer du monde au cours de sa longue existence. Il s’est fait ébrancher plusieurs fois puisqu’il était devenu un arbre à tête. Dans son branchage, quelques fois, les gamins y ont construit une cabane pour jouer en été.
Au printemps 2007, il a décidé de ne pas sortir ses feuilles, et voilà, L’Arbre de la Potence est mort.
Pendant l’hiver 2017/2018, L’arbre de la Potence est tombé !!! Tout un symbole Givryard qui s'effondre. Il était chargé d'histoire, mais comment lui faire raconter tout ce qu'il a vu et entendu? Seul arbre pour les oiseaux, à une époque: dépôt de matériel pour les agriculteurs, les gamins y ont construit des cabanes, repère pour amoureux.... mais un peu près de la route
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Les éoliennes de pompage ou éoliennes à eau ont pour but de pomper de l'eau et de la remonter. Elles transforment l'énergie cinétique du vent en énergie mécanique. Elles actionnent différents types de pompes.
Le point maintenant.
Usages des éoliennes de pompage
L'énergie du vent pour pomper l'eau est utilisée depuis plusieurs siècles. Elle est utilisée pour :
- irriguer les cultures ;
- abreuver le bétail ;
- constituer une réserve d'eau ;
- assécher des marais.
Débit des éoliennes à eau
Ces éoliennes permettent de pomper avec l'énergie gratuite du vent des volumes d'eau de 2 à 140 m³/jour (entre 5 et 25 m³ pour la majorité).
Le débit dépend :
- de la taille de l'éolienne ;
- de la profondeur de l'eau à remonter ;
- des conditions locales de vent.
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Le pelage du Lièvre est de couleur fauve avec des poils noirs ; le dessous est blanc crème.
Il diffère du Lapin de garenne par ses oreilles plus longues, noires au bout, une taille supérieure, un pelage plus jaunâtre, notamment en été.
Le pelage dorsal comprend 5 types de poils: la bourre (15 mm), des poils fins (24-27 min) et les poils de jarre (32-35 min).
Mues au printemps et en automne.
Le pelage estival est un peu plus clair que celui d’hiver, plus roussâtre aussi.
Mue juvénile à 900 g. Ses pattes postérieures sont très longues et lui permettent de faire de grands bonds. Redresse la queue quand il court.
Anomalies : mélanisme, albinisme, leucisme.
Les choanes sont beaucoup plus larges que celles du Lapin de garenne.Mensurations
La tête avec le corps mesure de 48 à 70 cm. Les pattes mesurent entre 115 et 150 mm. Le poids varie de 2,5 à 7 kg. Les mâles sont environ 5 % plus lourds que les femelles (hases).
Le Lièvre possède 28 dents.
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De taille relativement modeste (40 à 50 mm ), cette "Vanesse" fait partie de la grande Famille des Nymphalidae (130 espèces en France).
L'espèce est largement répandue, plutôt commune, mais elle n'est pas du genre à pulluler. Le "C-blanc" a 2 générations annuelles et présente un dimorphisme saisonnier assez net, mais très en deçà de celui de la "Carte géographique" (Araschnia levana) dont la première génération est orangée et la seconde noire (voir site)
Concrètement ce papillon hiverne à l'état adulte, et se réactive dès les premières belles journées de Mars. L'accouplement et la ponte font suite, parfois dès les premiers jours du printemps, comme en 2012. Cette première génération, qualifiée de vernale (= d'hiver !) apparaît en juin-juillet et se distingue des géniteurs par une teinte générale plus claire. La seconde génération, dite estivale, va au contraire donner des individus assombris qui écloront à la fin de l'été. Ce sont eux qui hiverneront, et donneront la première génération de l'année suivante ... la boucle s'en trouvant ainsi bouclée !
Le dimorphisme sexuel est assez peu marqué, les femelles se distinguant par une taille plus avantageuse, une coloration générale plus claire, et un abdomen censément plus volumineux en raison des œufs "en instance". Comme vous le verrez les chenilles se développent sur diverses plantes, arbres, et arbustes, mais cet éclectisme est souvent plus théorique que pratique.
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La chenille du Sphinx du troène compte parmi les plus belles, et les plus grosses, qui puissent se rencontrer en France.
Bien entendu cette chenille se développe sur les troènes, y compris les haies "urbanisées", mais aussi sur les frênes, forsythia, sureaux, et lilas.
Le développement de la chenille est rapide, et à titre d'exemple moins de 4 semaines se sont écoulées entre la naissance des "chenillettes", et leur arrivée à maturité.
Typiquement la plupart des chenilles de Sphingidae portent une sorte de corne ( = "scolus"), plus ou moins différenciée, à l'extrémité de l'abdomen. Celle du Sphinx du troène est particulièrement développée, et acérée, mais en dépit de ses allures d'aiguillon elle est parfaitement inoffensive et bien incapable de provoquer la plus minime blessure, d'autant que la chenille est aussi réactive .de gauche à droite: 1)- à ce stade l'appétit va bon train et le sécateur est de sortie tous les jours; 2 & 3)- la sphinx attitude ! 4)- chenilles au maxi de leur taille; 5)- le fameux et inoffensif scolus. Apanage des chenilles de sphinx, cette "corne" reste une énigme, car nul ne sait si elle a sa raison d'être ou pas, autrement dit si elle sert à quelque chose ou pas ... et si oui, à quoi !
Quelque soit l'espèce, le suivi des 5 stades larvaires d'une chenille n'est pas toujours évident. C'est encore plus vrai quand la livrée de la bestiole est du genre "invariable", ou que vous menez plusieurs élevages de front. C'est là mon lot quotidien, et en plus je vous fais grâce des coléoptères et autres "pensionnaires" à 6 pattes. Pour cette chenille vous devrez donc vous contenter d'un suivi plus chronologique que biologique, cette simplification préservant bien sûr l'essentiel.
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