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    Linotte mélodieuse


    Linotte mélodieuse



    Linotte mélodieuse



    Linotte mélodieuse

     

    Linotte mélodieuse

     

    Linotte mélodieuse

     

    Linotte mélodieuse

     

    Linotte mélodieuse

     

    Linotte mélodieuse

     

     

     Pour plus d'information, il y a ce site qui est très complet,  http://www.oiseaux.net/

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    Les champignons

     

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  • Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

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    Orchis purpurea

     

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  • Nom latin : Hipparchia fidia (Linnaeus 1767)
    Nom commun : Chevron blanc
    Autres noms : Autre nom scientifique : Pseudotergumia fidia.
    Nom anglais : Striped Grayling
    Ordre : Lepidoptera
    Sous-ordre : Rhopalocera
    Famille : Nymphalidae
    Sous-famille : Satyrinae
    Envergure : 52-62 mm, les femelles sont légèrement plus grandes que les mâles.
    Biotope : Zones rocailleuses, zones arides, pelouses sèches..
    Zone géographique : Sud de la France, Péninsule Ibérique, régions d'Italie proches de la frontière française, Afrique du Nord.
    Période de vol : Juillet-Août.
    Nombre de générations : 1
    Chenille :
    Plante hôte : Graminées (Oryzopsis sp., Brachypodium sp., Piptatherum sp.).

    Le dessus des ailes est brun gris avec quelques marques plus foncées.
    Il y a deux points blancs entre deux marques noires sur le dessus de l'aile antérieure.
    La bordure de l'aile postérieure est festonnée. Il y a une ligne noire submarginale à peine marquée.
    Le dessous de l'aile postérieure est gris blanchâtre et brun avec des lignes noires en zigzag caractéristiques.
    Le Chevron blanc hiverne sous forme de chenille qui continue à se nourrir.

     

    Chevron blanc, papillon

     

    Chevron blanc, papillon

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  • La fin du printemps signe pour bien des espèces la fin de l’hibernation. On ne se réjouira pourtant pas du réveil des chenilles dites « chenilles processionnaires du pin ». En se nourrissant d’aiguilles de pin, elles entraînent une défoliation (1) de l’arbre attaqué. En cas d’invasion massive, elles peuvent même considérablement affaiblir leur hôte, interrompant le cycle de croissance de l’arbre et favorisant la venue d’autres parasites.

    Elle doit son surnom à son mode de déplacement, qui consiste à évoluer en file indienne. En effet, à l’arrivée du printemps, les chenilles quittent leurs nids, situés aux extrémités des branches, et gagnent le sol pour trouver refuge dans un trou le temps d’atteindre leur stade final d’évolution.

    Chenilles processionnaires du pin


    Transformé en papillon nocturne, l’insecte aura à l’instar de ses semblables vivant la nuit une durée de vie très courte. Ne s’alimentant pas, il se consacrera exclusivement au renouvellement de l’espèce, déposant à son tour ses œufs sur les rameaux des arbres.

     

    Mais, la Thaumetopoea pityocampa, sous sa forme larvaire, ne s’en prend pas seulement à la flore. Dotée de poils urticants, elle peut provoquer chez l’homme, ainsi que chez certains animaux domestiques, des démangeaisons, des réactions allergiques, voire des problèmes ophtalmologiques et respiratoires.

    On possède malheureusement peu de moyens de défense pour freiner la prolifération de ces larves. Si la surface infestée est relativement restreinte, la destruction des nids et des pontes peut être suffisante. Des traitements chimiques existent, mais leur pulvérisation causerait des ravages similaires à ceux générés par les pesticides.

    Chenilles processionnaires du pin

    Déjà bien implantée sur le territoire français, notamment dans les vallées de la Loire et du Cher, le Massif central, le Jura et les Alpes, la processionnaire du pin envahit désormais la région Ile-de-France. Cette propagation, qui prend des proportions préoccupantes, devrait encore s’accentuer à l’avenir sous l’effet de la hausse globale des températures.

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  • Le papillon citron

    Faune

    Gonepteryx rhamni

    Le « classique » papillon citron, si facilement observable dans les jardins, est un des papillons les plus étonnants par son cycle et sa durée de vie.
    Messager du printemps, dès la sortie de l’hiver il est l’un des premiers à montrer le bout de ses ailes.

    Fiche d’identité


    Famille :
    insecte
    Ordre des insectes : lépidoptère
    Subdivision : rhopalocère (diurne)
    Classification : arthropodes
    Développement de la chenille : sur la bourdaine et divers nerpruns
    Alimentation adulte (imago) : nectar de fleur
    Distribution : jusqu’à 2000 m d’altitude dans toute l’Europe, sauf le nord de la Scandinavie et en Ecosse
    Habitat : orée de forêt, friches, broussailles, jardin, bord de route
    Vol : fin de l’hiver/début du printemps jusqu’à l’automne
    Envergure : de 50 à 60 mm

    Comment le reconnaître


    Le Gonepteryx rhamni est un des papillons les plus communs et les plus faciles à observer. On le reconnaît grâce à sa face supérieure jaune citron chez le mâle, ou vert pâle pour la femelle et au point orange qui orne chaque aile, quelque soit le sexe.
    Posé sur une fleur, il a toujours les ailes refermées ce qui lui permet de se confondre avec la végétation et de passé inaperçu de ses prédateurs (oiseaux, araignées…). Cette posture est d’autant plus efficace que la couleur de ses ailes et les nervures augmentent encore sa ressemblance avec une feuille.

    Un papillon étonnant

    Avec une espérance de vie supérieure à un an, le Gonepteryx rhamni fait partie des papillons européens ayant la plus longue existence.
    Réfugié au sein de plantes à feuillage persistant (généralement du lierre), les ailes repliées, le Gonepteryx rhamni est un des rares papillons hivernant à l’état adulte et le seul, dans nos contrées, à le faire en plein air (les autres lépidoptères, hivernant adulte, cherchent un abri sous un toit, dans un trou d’arbre ou une grotte). Cette caractéristique explique probablement son hivernation « légère », puisqu’il peut se réveiller n’importe quand en hiver si la température est clémente (principalement les mâles). Ainsi, il n’est pas rare de le voir faire son retour très tôt au printemps, parfois même avant qu’aucune fleur ne soit ouverte.

    Cycle de vie du papillon citron

    1er stade : l'œuf
    Chez le citron, il n’y a qu’une seule ponte par an, à partir du mois d’avril.
    Les œufs du papillon citron sont de couleur jaune/vert crème et de forme fuselée. Après l’accouplement, ils sont fixés isolément sur le dessous des jeunes feuilles de la plante hôte (bourdaine ou certains nerpruns), grâce à une substance sécrétée par la femelle, non soluble dans l’eau. L’incubation varie en fonction de la température extérieure.


    2ème stade :
    la chenille ou larve
    L’œuf à terme, généralement à partir du mois de mai, donne naissance à une chenille verte, rayée de blanc sur les côtés, qui vit seule sur la plante hôte sans protection particulière. Immobile le long de la plante hôte, la chenille passe inaperçue, seul les traces de grignotage des feuilles la trahissent.
    A la sortie de l’œuf, avant toute consommation de feuille, la chenille avec ses parties buccales, du type broyeur, dévore les restes de l’œuf (vitellus et chorion). Ensuite, elle se déplace sur la plante, avec ses fausses pattes (des petites parties de son corps plus charnues et munies de ventouses), en dévorant tout ce qui se trouve sur son passage.
    Sa peau ne grandissant pas, la chenille du papillon citron est obligée de muer plusieurs fois… pour, après avoir emmagasiné suffisamment de réserves, subir une dernière mue qui sera une métamorphose complète et la fera passer d’une vie de gloutonne à celle de beauté volante.

    3ème stade : la chrysalide ou pupe
    Le moment venu, la chenille cesse de s’alimenter et cherche un endroit propice à sa transformation. Sa peau se noircit et se ride, tandis que la chrysalide se forme peu à peu à l’intérieur de sa vieille « enveloppe ». Pour cette dernière étape, au début de l’été, elle se fixe sous une feuille avec des fils de soie. Fixée par un fil de soie et un coussinet à son extrémité inférieure, la chrysalide est généralement dans une position horizontale.

    Dans la chrysalide, la nymphe a la tête en bas et se transforme progressivement en papillon. Cette phase ne dure que quelques jours avant une émergence très rapide (quelques secondes).

    4ème stade : l'imago
    La nymphe, transformée en un superbe papillon, doit trouver un support pour achever sa transformation car si ses pattes sont fonctionnelles ses ailes ne le sont pas encore. Le déploiement des ailes se fera en une dizaine de minutes mais il faudra environ 7 heures pour qu’elles se rigidifient et permettent au papillon citron de prendre son envol. Devenu imago (adulte) le citron ne subira plus aucune transformation de taille, de couleur ou de forme.
    A partir de ce stade l’imago se nourrira du nectar des fleurs grâce à une trompe de type suceur, la nouvelle génération côtoyant les parents avant leur mort.

    L’été et l’automne

    Dès qu’il commence à faire très chaud, les papillons citrons observent une période d’estivation, avant de reprendre leur activité, généralement fin août.

    Le soleil se faisant moins généreux, les imagos de l’année se préparent à hiverner, tandis que ceux qui ont déjà affronté un hiver sont au crépuscule de leur vie.
    Pour se protéger du froid et des intempéries, le papillon citron se réfugie sur une plante qui ne perd pas ses feuilles pendant la période hivernale, le plus souvent du lierre proche du sol. Les ailes fermées, bien camouflé, se faisant passer pour une feuille et sans aucune autre protection, il va tomber dans une sorte de coma en ralentissant son métabolisme, afin de ne pas épuiser prématurément ses réserves, pour passer l’hiver.

    L’hiver

    Pendant la période hivernale il ne peut s’alimenter, alors il va survivre grâce à ses réserves accumulées pendant l’été. Il résistera au froid, même par de très basses températures qui lui sont moins fatales que l’humidité.
    Sa résistance au froid est due à un « sérum antigel », une sorte de liquide qu’il produit lui-même et qui contient de l’alcool, de l’albumine et des sels minéraux.

    Le printemps

    Avec le retour des beaux jours, le papillon citron reprend le cours de sa vie et est un des premiers papillons de l’année à butiner. Le mâle va courtiser la femelle en effectuant une danse nuptiale, après l’avoir repéré grâce à sa forme et sa couleur. Néanmoins, sa technique de repérage reste très perfectible, certains chercheurs ayant observé des mâles citrons courtiser des sacs plastiques de forme et de couleur identique à la femelle !!
    Si la femelle accepte de s’accoupler, elle va se poser sur une fleur, de façon à « offrir » son abdomen au mâle (elle est donc renversée sur la fleur). Le mâle qui vient se fixer son abdomen, en cas de danger, l’entraînera dans sa fuite.
    Le sexe des papillons peut être comparé à une serrure, chaque variété a sa propre clef, ce qui empêche les mariages entre différentes espèces.

     

    Citron, papillon

     

    Citron, papillon

     

    Citron, papillon

     

     

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    Superbe endroit, qu'est ce que j'aimerai m'enfuir loin de tout la bas. Mais hélas, on ne fait pas toujours ce que l'on veut

    Berck

     

    Berck

     

    Berck

     

     

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  • Belle dame, Vanesse du chardon

     

    Belle dame, Vanesse du chardon

     

     

    La Vanesse du chardon (Vanessa cardui), est un papillon migrateur de la famille des Nymphalidae, de la sous-famille des Nymphalinae et du genre Vanessa.

    Belle dame, Vanesse du chardon

    Ce papillon était autrefois très commun en Europe, avec une aire de répartition presque planétaire. Il s'agit du papillon diurne le plus répandu dans le monde.

    La Vanesse du chardon est un papillon moyen à grand, long de 27 à 31 mm dont l'envergure varie de 40 à 70 mm au vol en zig-zag.

    Le dessus des ailes est fauve orangé ponctué de taches noires et de taches blanches. La pointe des ailes antérieurs, est de couleur foncée ponctuée de blanc alors que les ailes postérieurs plus claires présentent une série de 4 à 5 points foncés.

    Belle dame, Vanesse du chardon

    Sur le revers des ailes postérieures on note des nervures blanches et 5 ocelles bleus.

    Les papillons migrants des pays du sud vers le nord sont reconnaissables à la couleur délavée, presque terne, de leurs ailes due à l'altération des écailles qui les composent.

    Belle dame, Vanesse du chardon

    Les deux sexes sont semblables.

    Les pontes en Europe peuvent donner deux à trois générations jusqu'en octobre.

    Les chenilles sont verdâtres ou violettes, avec des marbrures noires et des épines jaunes

    La vanesse du chardon est polyvoltine, sans diapose, elle vole toute l'année mais change de domaine de résidence5. En Europe et Amérique du Nord, suivant le lieu elle réside il y aura une à trois générations et la dernière migre vers le sud, Mexique ou Afrique du Nord où elles auront jusqu'à quatre générations, avant de repartir vers le nord, parfois en faisant le trajet en deux générations.

    Belle dame, Vanesse du chardon

     

    Les plantes-hôtes sont variées, grande ortie, chardon, mauve sauvage, tussilage, bardane, artichaut, lavande, cirse.

    La Belle-dame affectionne les lieux découverts et tous les lieux comportant des chardons ou autres plantes-hôtes

    Elle est présente partout dans le monde à l'exception de l'Amérique du Sud et de l'Antarctique. En Amérique du Nord elle migre depuis le Mexique jusqu'au nord du Canada.

    Elle est commune dans toute Afrique, toute l'Asie, en Océanie et en Europe. Mais elle n'est résidente permanente que dans très peu de lieux. Elle migre en Europe pour venir y passer la saison chaude puis repart et elle est absente d'Europe de novembre à février.

    Belle dame, Vanesse du chardon

     

    En France métropolitaine elle est présente comme migratrice, dans tous les départements. Aux Antilles elle n'est présente que rarement toujours comme migratrice.

    Belle dame, Vanesse du chardon

    C'est une espèce migratrice hivernant en Afrique et migrant vers l'Europe centrale et du sud au printemps (d'avril à juin), puis les descendants de cette première génération descendent vers le sud en automne. Elles sont incapables de survivre à l'hiver européen. On trouve la même situation en Amérique où le papillon migre entre le Mexique et les États-Unis et le Canada.

     

    Belle dame, Vanesse du chardon

     

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  • La petite tortue

     

    La petite tortue

     

    La petite tortue

     

    La petite tortue

     

    Petite monographie du papillon petite tortue
     

    Aglais urticae (Linnaeus, 1758) de la famille des Nymphalini

    La petite tortue est l’un des papillons les plus familiers et attrayants d’Europe. Le recto coloré est essentiellement orange, avec de grosses taches noires, jaunes et brun foncé, et de légères lunules bleues qui bordent les quatre ailes, accentuant l’aspect de mosaïque. Le verso, en revanche, est assez sombre, ce qui donne au papillon une livrée assez cryptiquelorsqu’il se pose les ailes repliées. La petite tortue donne deux à trois générations par an ; les adultes de la dernière hivernent, se réfugiant souvent dans les granges et autres bâtiments, pour ressortir au printemps.

    Habitats : une grande variété de lieux, tels que les talus, les bordures des champs et des jardins, de la plaine aux montagnes. La plante hôte de la petite tortue est l'ortie.

    Vol : Mars à Octobre, en générations successives. (Nature en poche - Larousse)

    Adulte : 40-50 mm. Fauve rougeâtre vif avec des taches noires, blanches et jaunes, ainsi qu’une rangée marginale de lunules bleues ; base des ailes postérieures noire. Revers des ailes postérieures brun foncé, avec l’aire marginale plus claire.

     

     

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    Comparé en son temps à une toile d’araignée, le curieux graphisme du revers des ailes du papillon d’Araschnia levana (Lép. Nymphalidé) lui a valu son nom de genre1 . Les partisans d’une ressemblance avec un figuré géographique lui ont attribué l’étonnant nom vernaculaire de Carte géographique. Ce papillon de jour est la plus petite des Vanesses européennes. Son envergure n’excède pas 30 à 40 mm, là ou d’autres, tel le Morio (Nymphalis antiopa), avoisinent le double. L’espèce est généralement localisée, mais souvent commune là où elle vit. Depuis quelques décennies ce papillon est en très nette extension, en Europe comme en France, fait suffisamment rare pour être souligné. Il progresse tout au long des cours d’eau, y compris de simples ruisseaux, où il trouve les prairies plus ou moins mouillées qu’il affectionne, et les orties pour le « pain quotidien » de ses chenilles. La grande originalité de l’espèce est d’avoir 2 formes du papillon, cas extrême de dimorphisme saisonnier. Linné en fut trompé, qui a décrit 2 espèces. Issue de chrysalides hivernantes, les adultes de la génération vernale (= d’hiver) apparaîssent en mai-juin et sont de couleur fauve. Ils engendrent une seconde génération dont les papillons sont quasiment noirs (forme « prorsa2 ») et volent de la mi-juillet à fi n août. La descendance de cette seconde génération est normalement destinée à hiverner, mais une partie des chrysalides peut éclore prématuré-ment, quand les conditions climatiques le permettent. Au sein de cette troisième génération, semblable à la seconde, peuvent apparaître de peu fréquentes formes individuelles (dites « porrima »), dont la coloration est intermédiaire entre les phases vernale et estivale.

    ■ LA PONTE Elle s’effectue classiquement sur la plante nourricière, et en l’occurrence sur les orties, ces « mauvaises herbes » qui nourrissent de si nombreux insectes, et notamment les plus beaux et plus familiers papillons de nos jardins, tels le Paon du jour (Inachisio) ou encore le Vulcain (Vanessa atalanta) 3 . La ponte a lieu au revers des feuilles, ce qui protège – autant que faire se peut – les œufs des intempéries et des prédateurs ! La ponte, très originale, se présente sous la forme de minuscules colonnettes constituées d’œufs assemblés bout à bout. Ces colonnes, 5 ou 6 par ponte, sont appendues sous le feuillage, chacune comportant jusqu’à 12 ou 15 œufs (j’ai même trouvé 17). La durée de l’incubation est de l’ordre de 8 à 10 jours.

    ■ LA CHENILLE Les chenilles des générations successives sont identiques. Elles sont grégaires, avec dispersion générale après la dernière mue larvaire. Elles sont noires, épineuses, et ressemblent aux chenilles du Paon du jour, en particulier à mi-parcours de leur développement. Cependant, on peut les en distinguer aisément, moyennant un peu d’attention, comme nous le verrons plus loin. Les chenilles d’Araschnia sont dotées d’épines tégumentaires « barbelées » à la fois très nombreuses et très acérées : de quoi décourager les gosiers affamés ! Elles ne sont pas urticantes et leur manipulation est sans danger pour les épidermes normalement constitués. Prudence cependant en cas de tendances allergiques... des fois que ! Quel que soit leur âge, ces chenilles usent d’un système de défense extrêmement simple mais efficace, se laissant tomber, corps enroulé en anneau, pour disparaître dans la végétation sous-jacente. Leur capacité de discernement est par ailleurs assez surprenante car tout le monde « décroche » dès qu’on touche l’ortie abritant la colonie, alors que rien ne se passe quand les feuilles s’agitent sous l’effet du vent. Une fois l’alerte passée, toutes remontent sur la plante, se regroupant là même où elles étaient avant leur dispersion.

    ■ LE DÉVELOPPEMENT LARVAIRE Différencier avec certitude les 5 stades larvaires, et en assurer le suivi, n’est pas chose aisée car ces chenilles sont petites, noires, et les indices passablement ténus. L’examen de la largeur de la capsule céphalique, seule référence, n’est applicable – et encore difficilement – qu’à petite échelle. Les risques d’erreur sont importants voire inévitables.

    ■ LA CHRYSALIDE Contrairement aux nombreuses espèces qui quittent la plante nourricière pour se nymphoser, la chenille de la Carte géographique se chrysalide volontiers sur place, sans plus de fioritures. Elle s’accommode du feuillage en l’état, tout comme des tiges de l’ortie, alors que la chenille du Vulcain, par exemple, se construit une sorte de logette nymphale faite d’une ou plusieurs feuilles repliées et maintenues entre elles par des fi ls de soie. Le dessous du feuillage est cependant particulièrement prisé et, le moment venu, les chenilles s’y amarrent tête en bas, en l’attente de se métamorphoser. Les chrysalides sont suspendues par le crémaster, sorte de griffe située à l’extrémité de l’abdomen qui, un peu à la manière du bien connu « velcro », croche dans la trame soyeuse préalablement tissée par la chenille sur le support. Chez d’autres papillons de jour, comme le Machaon, les chrysalides « ceinturées » sont fixées au support par une ligature à mi-corps. Les prémices de l’émergence sont bien visibles, avec une différence notoire et logique entre les chrysalides hivernantes (papillons fauves) et les estivales (papillons noirs). Dans ce dernier cas, la disparition progressive des plages dorées s’accompagne du rembrunissement général de la chrysalide. Au terme du processus, cette dernière laisse transparaître la couleur noire du papillon ainsi que les taches alaires claires. Pour les chrysalides hivernantes il vous faudra, comme moi, patienter jusqu’au printemps !

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    L’aurore

    C’est une piéride mais qui présente de larges tâches oranges sur les ailes antérieures, chez le mâle du moins. C’est l’un de tous premiers à prendre son envol en début d’année.

    POSITION SYSTÉMATIQUE : Insecte Lépidoptère

    Famille des Pieridae

    ETYMOLOGIE : Anthocharis = qui a la grâce des fleurs et cardamines = de la cardamine

    Le nom anglais de ce papillon est « orange tip » c’est à dire « extrémités orangées ».

    DESCRIPTION :

    Taille : C’est un papillon assez petit, avec une envergure de 35 à 45 mm.

    Forme, allure : La plupart des piérides sont de couleur blanche avec plus ou moins de tâches noires, l’aurore se caractérise par la grande tâche orangée qui occupe toute la moitié de l’aile antérieure chez le mâle, celle-ci ayant en outre une bordure externe noire. La femelle ne possède pas cette coloration orangée. Chez les deux sexes, le revers des ailes est blanc tacheté de verdâtre.

    Coloration : dessus de l’aile orange et blanc

    Comportement : L’aurore est l’un des premiers papillons que l’on voit voler au printemps

    AIRE DE RÉPARTITION, STATUT : C’est une espèce commune partout. Présent dans la France entière.

    HABITAT : On rencontre ce papillon principalement dans les prairies humides où se développe la cardamine des près (d’où le nom d’espèce). Il fréquente aussi les zones boisées, les lisières de forêt, les friches,

    PÉRIODE OBSERVATION : les adultes se rencontrent de mars  à juillet et il n’y a qu’une génération par an.

    BIOLOGIE :

    Alimentation : on le trouvera alors la cardamine des près, sur l’alliaire, la lunaire, la cardamine amère ou la moutarde des champs. La chenille se nourrit des fleurs et des fruits de la cardamine, puis des feuilles.

    Reproduction : La femelle pond des œufs de couleur blanche, qui deviennent  rouges, sur la base des fleurs de la plante hôte. La chenille est verte, avec une bande blanche nette sur le coté inférieur et dégradée de vert sur le coté supérieur, elle est particulièrement homochromique. Elle atteint 3 cm et se montre agressive vis à vis de ses congénères.  La nymphose a lieu sur une tige sèche, près du sol, la chrysalide ressemble à une épine, et elle est aussi homo chromique. C’est sous la forme nymphale (chrysalide) que ce papillon hiverne.

     

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    La grèbe huppé

     

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    Gruissan

     

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    La lune

     

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    Langres (52)

     

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    Le muscari

     

    Le muscari que l’on appelle aussi jacinthe à grappes est une fleur à bulbe très décorative.

    L’entretien, de la plantation à la floraison est très facile et l’effet décoratif est garantie. 

    En résumé, ce qu’il faut savoir :

    Nom : Muscari

    Famille : Asparagacées
    Type : Bulbe de printemps

    Hauteur
    : 15/20 cm
    Exposition : Ensoleillée
    Sol : Ordinaire

    Floraison : Mars à mai


    En savoir plus sur http://www.jardiner-malin.fr/fiche/muscari-jacinthe.html#Bh3QVLlUj3WIK9rK.99

     

    Le muscari

     

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    Mes tulipes

     

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    Le champignon

     

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  • La cardamine des prés La fin de l’hiver est proche. Bientôt, la campagne va s’illuminer chaque jour un peu plus de mille couleurs. Vers la fin mars, dans les prés humides, le long des lisières fraîches et des fossés, les fleurs de la cardamine des prés vont illuminer le vert tendre du printemps. Vous ne pouvez pas la rater. Tous ces petits points blancs parmi les joncs, c’est elle !

     

    De plus près, le petit point blanc en question se présente sous la forme d’une élégante fleur à quatre pétales, ce qui en fait un membre de la famille des brassicacées, comme le chou, la moutarde ou encore le cresson. Ces pétales ne sont pas toujours blancs, mais peuvent être plus ou moins roses. Ils culminent en grappes au sommet d’une tige glabre et creuse de 20 à 40 cm. Au pied de la plante, les feuilles disposées en rosette sont pennées et composées de plusieurs folioles arrondies. Les supérieures, sur la tige, sont toujours pennées, mais les folioles deviennent de plus en plus allongées et étroites. Un mois plus tard, les fleurs auront laissé place à des fruits allongés appelées siliques. Comme des petits haricots dressés, ceux-ci libéreront en éclatant, des centaines de graines aux alentours. La période de floraison de la cardamine des prés correspond à l’apparition d’un magnifique papillon printanier, l’aurore. Et les deux compères s’aiment bien… Non seulement l’insecte adore butiner le nectar sucré de la « cressonnette »*, mais il pond aussi ses œufs sur cette fleur, ou plus exactement sur les pédoncules floraux. A l’éclosion, la chenille n’aura plus qu’à se nourrir de cette plante douce-amère. Les hommes aussi se nourrissent du « cresson des prés »*, et depuis la préhistoire ! Les feuilles se consomment en salade de préférence avant la floraison, elles sont alors moins amères. Riches en vitamine C, elles possèdent aussi des propriétés médicinales (contre la toux…). * : Les autres noms donnés à la cardamine des prés sont nombreux !

     

     

    Cardamine des prés             Cardamine des prés

     

    Cardamine des prés

     

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  • Neuville Day, et son lavoir

     

    Neuville Day (08), et son lavoir

     

    Neuville Day (08), et son lavoir

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  • L'Orchis purpurea est une orchidée commune dans nos régions. C'est une plante robuste, haute de 30 à 70 cm, avec une inflorescence en épi constitué de 25 à 100 fleurs de teinte pourpre-violet sur fond blanc. Le labelle est trilobé avec un lobe médian plus large que les latéraux et divisé en deux lobules séparés par une dent. Il est ponctué de papilles pourpres. Pétales et sépale dorsal forment une large coiffe pourpre vers l'avant. L'éperon, incurvé vers la bas, mesure environ la moitié de l'ovaire.
    Autres particularités : les feuilles vert brillant non tachetées, la tige épaisse lavée de pourpre au sommet.

    Son aire de répartition s'étend sur une vaste zone allant de la péninsule ibérique jusqu'au Caucase à l'est et au Danemark au nord.

    Période de floraison : avril - juin

     

    Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

    Orchis purpurea

     

     

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    Le trèfle

     

    Le trèfle

     

    Le trèfle

     

    Le trèfle

     

     

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    Viola est un genre de plantes herbacées vivaces de la famille des Violaceae. Selon le positionnement des pétales, les espèces sont appelées « violettes » ou « pensées ». Les violettes sont parfois appelées « herbes de la Trinité ». Ces plantes ont un usage principalement ornemental. Des variétés odorantes servent en parfumerie et en confiserie.

    Violette est un prénom féminin existant en Europe depuis le Moyen Âge.

    Les violettes

     

    Les violettes

     

    Les violettes

     

    Les violettes

     

    Les violettes

     

     

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